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Un cèdre pour consolider les relations entre le Maroc et le LibanUn geste riche en enseignementsNezha Mounir
Jeudi 27 Mars 2014
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Toute une symbolique. Planter un cèdre du Liban dans l’esplanade de la Bibliothèque nationale du Maroc. «Certes, c’est un geste simple mais très chargé en enseignements», comme l’a indiqué Fathallah Oualalou, maire de Rabat lors d’une cérémonie organisée en l’occasion. Et d’ajouter que le choix de l’endroit n’est pas fortuit et relie ainsi l’environnement et la culture. Plusieurs personnalités étaient présentes notamment, l’ambassadeur ainsi que le consul du Liban au Maroc, le secrétaire général de la wilaya et d’autres personnes venues de divers horizons. Le cèdre, l’emblème du Liban, est connu pour sa résistance et la profondeur de ses racines. Des qualités qui imprègnent les relations entre le Maroc et le Liban. «Le but recherché à travers cet événement est de consolider davantage les liens entre les deux peuples et de remercier le Maroc d’accueillir la diaspora libanaise», nous a déclaré Jinane Milleli, présidente de l’Association Union libanaise culturelle mondiale, Maroc –Afrique, à l’origine de cette initiative. Des relations qui ne datent pas d’aujourd’hui comme l’a rappelé M. Oualalou et qui sont fort privilégiées du reste de par les relations à un haut niveau. Quant à l’ambassadeur du Liban au Maroc, Mostapha Hamdane, il n’a pas tari d’éloges quant à la solidité des liens unissant les deux pays et s’est dit très fier de participer à cet événement.
«La communauté libanaise qui oscille actuellement entre 4000 et 5000 personnes, est appelée à connaître un grand essor dans les années à venir», nous a confié pour sa part le consul du Liban à Rabat, Fouad Khazzaka. Et pour cause, le Maroc dispose d’un bon nombre d’atouts le rendant attractif aux yeux des investisseurs. Selon lui, la stabilité politique du Maroc, ses bonnes performances économiques et ses fondements macroéconomiques solides font du Royaume une plateforme importante pour attirer des investisseurs libanais. Ce qui est loin d’être le cas des autres pays arabes. On retrouve ainsi des Libanais non seulement dans les affaires mais également dans la culture. Tous les horizons sont donc ouverts afin de tirer plus d’avantages de cette opportunité. Lu 1882 fois
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