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"Il n'y a rien de personnel entre lui et moi. Ces choses arrivent. C'est entre un joueur qui ne veut pas sortir, et un entraîneur qui a ses raisons d'agir et qui veut aussi faire jouer ceux qui l'ont mérité", a déclaré l'Allemand à la veille du déplacement à Nantes en Ligue 1.
"J'en ai parlé hier (dimanche) avec +Leo+ (Leonardo, le directeur sportif), bien sûr, et avec le groupe, comme on le fait généralement. Ça reste dans le vestiaire", a-t-il poursuivi.
Le week-end parisien a été pollué par l'image de l'attaquant français, visiblement en colère de sortir à la 69e minute, et retenu par son coach pour une explication.
Après la rencontre, Tuchel avait confié qu'il était attristé par la situation. "J'ai dit que j'étais triste car on a donné l'occasion de parler d'autre chose que du sportif", a précisé lundi le technicien souabe.
"Le résultat était bouclé, c'était la possibilité de sortir Pablo (Sarabia) et Kylian sans changer de structure, en faisant entrer Mauro (Icardi) et +Edi+ (Cavani) qui ont mérité leurs minutes. Je sais que c'est dur à accepter pour quelques joueurs, mais ce sont des choses sportives, qu'ils peuvent comprendre", a-t-il encore dit.
Autre événement extrasportif du week-end, l'anniversaire de la superstar Neymar, fêté dans un club branché de la capitale dimanche soir.
"Je protège toujours mes joueurs, j'adore ce groupe. Avec cette fête, j'accepte que c'est un peu difficile de les protéger, mais le contexte ne se limite pas à +noir ou blanc+. Ce n'est pas la meilleure façon de préparer un match, mais ce n'est pas la pire chose qui peut nous arriver non plus. C'est dommage, car on donne des choses pour que l'on parle mal de nous. On doit s'adapter, mais je ne vais pas laisser un joueur sur le banc parce qu'il a pris part à une fête", a expliqué Tuchel.