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Certes, les prix des mensualités n'ont pas augmenté puisque les universitaires doivent débourser 70DH pour prendre le bus et que les élèves de la périphérie sont tenus de payer 60 DH pour faire de même, mais le problème concerne les droits d'accès à ce service qui ont pris l'ascenseur. En effet, le prix du formulaire de la demande à remplir par les élèves et les étudiants pour bénéficier des avantages de la carte scolaire est passé de 15 à 30 DH et celui de la pochette carte a atteint 45 DH au lieu de 30 DH.
Par ailleurs, aux élèves qui poursuivent leurs études au sein des établissements de la formation professionnelle, ainsi que ceux respectifs du primaire, du collégial et du secondaire, Mdina bus leur refuse l'obtention de ces fameuses cartes scolaires. Pourtant, parmi les clauses de la Convention de gestion déléguée signée en 2004 entre la Société M'dina bus et le Conseil de la ville, il est mentionné que ce service doit être assuré par ladite société. Ceci dit, des centaines de milliers d'élèves et d'étudiants de la Métropole et de Mohammedia se trouvent contraints de compter sur leurs propres moyens pour regagner leur établissement, une tâche on ne peut plus ardue dans une cité tentaculaire.
Il n'est pas sans rappeler que du temps de la défunte Régie autonome du transport de Casablanca (RATC), tous les scolarisés du primaire jusqu'à l'université jouissaient des avantages de ces fameuses cartes et à des prix qui étaient à la portée de tout le monde.







