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Une saison d’hiver à oublier ! Telle est la situation des acteurs de l’industrie touristique qui ont perdu tout espoir d’une véritable reprise d’activité en cette période de fêtes de fin d’année, laquelle est considérée, dans des conditions normales, comme une haute saison. Ces professionnels peinent à faire renaître leur activité de ses cendres au regard d’une crise Covid-19 persistante et qui a imposé un renforcement des procédures de l’état d’urgence sanitaire et un retour à de strictes mesures de précaution.
Ces mesures consistent notamment à fermer les restaurants, cafés, commerces et grandes surfaces à 20H00, instaurer un couvre-feu nocturne de 21H00 à 6H00 à l’échelle nationale, sauf cas exceptionnels, interdire les fêtes et les rassemblements publics ou privés, ainsi qu’à procéder à une fermeture totale des restaurants à Casablanca, Marrakech, Agadir et Tanger pour une durée de trois semaines.
Un coup de tonnerre pour le peu d’opérateurs touristiques qui songeaient à lancer des programmes dans ces villes privilégiées par les touristes nationaux et étrangers. “Malheureusement, au vu de la recrudescence des cas Covid-19 dans les marchés émetteurs et les restrictions liées à la mobilité à l’intérieur du Royaume, les professionnels du tourisme ont déchanté”, a regretté Faouzi Zemrani, vice-président général de la Confédération nationale du tourisme (CNT).
Ces professionnels nourrissaient beaucoup d’espoirs sur cette fin d’année et beaucoup s’y étaient préparés notamment en matière de mesures sanitaires adaptées pour recevoir les visiteurs et passer d’agréables moments, a-t-il fait savoir.
“Mais il faut se faire une raison et remettre à plus tard, en fonction des calendriers de vaccination. Cela permettra un retour de confiance et de sérénité et peut être une reprise du tourisme”, a indiqué M. Zemrani. Et de soutenir que dans la mesure où les touristes ont été sevrés depuis le mois de mars dernier, et en fonction de la gestion de la pandémie, il faudra s’attendre à une reprise de la demande, car l’envie de voyager sera très grande. Le vice-président général de la CNT a, dans ce sens, estimé que “le Maroc doit s’y préparer dès maintenant et fixer la date du 2 avril 2021, comme échéance d’ouverture probable de notre ciel aux compagnies aériennes”. Cette décision doit être annoncée le plus rapidement possible afin de donner de la visibilité aux professionnels pour se préparer, a-t-il recommandé.
“Mais il faut se faire une raison et remettre à plus tard, en fonction des calendriers de vaccination. Cela permettra un retour de confiance et de sérénité et peutêtre une reprise du tourisme”, a indiqué M. Zemrani. Et de soutenir que dans la mesure où les touristes ont été sevrés depuis le mois de mars dernier, et en fonction de la gestion de la pandémie, il faudra s’attendre à une reprise de la demande, car l’envie de voyager sera très grande. Le vice-président général de la CNT a, dans ce sens, estimé que “le Maroc doit s’y préparer dès maintenant et fixer la date du 2 avril 2021, comme échéance d’ouverture probable de notre ciel aux compagnies aériennes”.
Cette décision doit être annoncée le plus rapidement possible afin de donner de la visibilité aux professionnels pour se préparer, a-t-il recommandé.
Ces mesures consistent notamment à fermer les restaurants, cafés, commerces et grandes surfaces à 20H00, instaurer un couvre-feu nocturne de 21H00 à 6H00 à l’échelle nationale, sauf cas exceptionnels, interdire les fêtes et les rassemblements publics ou privés, ainsi qu’à procéder à une fermeture totale des restaurants à Casablanca, Marrakech, Agadir et Tanger pour une durée de trois semaines.
Un coup de tonnerre pour le peu d’opérateurs touristiques qui songeaient à lancer des programmes dans ces villes privilégiées par les touristes nationaux et étrangers. “Malheureusement, au vu de la recrudescence des cas Covid-19 dans les marchés émetteurs et les restrictions liées à la mobilité à l’intérieur du Royaume, les professionnels du tourisme ont déchanté”, a regretté Faouzi Zemrani, vice-président général de la Confédération nationale du tourisme (CNT).
Ces professionnels nourrissaient beaucoup d’espoirs sur cette fin d’année et beaucoup s’y étaient préparés notamment en matière de mesures sanitaires adaptées pour recevoir les visiteurs et passer d’agréables moments, a-t-il fait savoir.
“Mais il faut se faire une raison et remettre à plus tard, en fonction des calendriers de vaccination. Cela permettra un retour de confiance et de sérénité et peut être une reprise du tourisme”, a indiqué M. Zemrani. Et de soutenir que dans la mesure où les touristes ont été sevrés depuis le mois de mars dernier, et en fonction de la gestion de la pandémie, il faudra s’attendre à une reprise de la demande, car l’envie de voyager sera très grande. Le vice-président général de la CNT a, dans ce sens, estimé que “le Maroc doit s’y préparer dès maintenant et fixer la date du 2 avril 2021, comme échéance d’ouverture probable de notre ciel aux compagnies aériennes”. Cette décision doit être annoncée le plus rapidement possible afin de donner de la visibilité aux professionnels pour se préparer, a-t-il recommandé.
“Mais il faut se faire une raison et remettre à plus tard, en fonction des calendriers de vaccination. Cela permettra un retour de confiance et de sérénité et peutêtre une reprise du tourisme”, a indiqué M. Zemrani. Et de soutenir que dans la mesure où les touristes ont été sevrés depuis le mois de mars dernier, et en fonction de la gestion de la pandémie, il faudra s’attendre à une reprise de la demande, car l’envie de voyager sera très grande. Le vice-président général de la CNT a, dans ce sens, estimé que “le Maroc doit s’y préparer dès maintenant et fixer la date du 2 avril 2021, comme échéance d’ouverture probable de notre ciel aux compagnies aériennes”.
Cette décision doit être annoncée le plus rapidement possible afin de donner de la visibilité aux professionnels pour se préparer, a-t-il recommandé.