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"Saïd Namouh ne peut prétendre à une libération conditionnelle qu'après au moins dix ans d'emprisonnement. Etant donné qu'il a été arrêté en 2007, cette libération pourrait intervenir dans sept ans", a déclaré le juge, relayé par les médias. Namouh était poursuivi pour son implication dans un complot visant à commettre des explosions, sa participation à un acte terroriste et extorsion de fonds pour le compte d'un groupe terroriste. En octobre dernier, la Couronne (ministère publique) avait soutenu que Namouh était un membre actif du GIMF (Global islamic media front), une organisation impliquée dans le recrutement pour le djihad et qui est considérée comme l'instrument médiatique d'Al-Qaïda.
Namouh, qui jouit de statut de résidant permanent au Canada après son mariage avec une Québécoise en 2003, avait été arrêté en septembre 2007 à Maskinongé (Québec) pour son présumé rôle dans la planification d'attentats terroristes en Allemagne et en Autriche, en raison de la présence militaire de ces deux pays en Afghanistan. Il était également soupçonné d'avoir créé et distribué des vidéos de propagande de soldats occidentaux tués et d'attentats-suicide à la bombe.
Il avait été déclaré coupable en vertu de la loi antiterroriste, adoptée au Canada après les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis.
Namouh, qui n'est pas naturalisé canadien, pourrait être exposé à la procédure d'expulsion au terme de sa peine d'emprisonnement au Canada.