-
Report du vote de la résolution sur le Sahara à vendredi 31 octobre
-
Il savait ce qu’il disait ? Ou C’était du n’importe quoi ?
-
Inondations en Espagne : Le Maroc prend part aux funérailles d’Etat en hommage aux victimes
-
Le Groupe socialiste interpelle le gouvernement sur des questions d’ordre social et économique
Grand orateur, Cheikh Amar est une personnalité respectée parmi les populations des provinces du Sud. Bouchraya qui connaissait ce fait n’avait donc pas le courage de l’affronter en direct.
A Alger, les patrons de Bouchraya qui connaissent parfaitement Cheikh Amar, craignaient surtout un revers médiatique, alors que les travaux de la table ronde de Genève étaient à leur premier jour.
Devant une telle situation, France 24 n’avait d’autre choix que de céder aux caprices de Bouchraya et demander à l’ex-président de la municipalité de Dakhla de céder sa place à une autre personne. Le choix est tombé sur le politologue Tarik Atlati qui a débattu, via satellite de Rabat, avec le représentant du Polisario. Quant à Cheikh Amar, il est passé dans le JT précédant l’émission en question et au cours duquel il a exposé ses idées d’une manière claire, simple et directe.








