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Les deux organisations ont exprimé, dans un communiqué conjoint, leur refus catégorique de cette décision qu'elles ont qualifiée d'«illégale et de précédent dangereux» dans l'histoire des festivals de la jeunesse, soulignant que l'unique partie habilitée à prendre une telle décision est bien la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique(FMJD).
Les deux organisations ont également exprimé leur solidarité avec la délégation marocaine qui a été victime, le long des travaux du festival, d'actes d'intimidation et de harcèlement.
Elles ont aussi dénoncé vigoureusement «les agissements provocateurs irresponsables» manifestés par la délégation espagnole, assurant que les délégations arabes et plusieurs autres étrangères étaient témoins des actes provocateurs de la délégation espagnole qui a délibérément entravé le bon déroulement d'un workshop sur le plan d'autonomie des provinces du Sud, présenté en tant qu'option réaliste et pacifique pour le règlement de la question du Sahara.
Les deux organisations arabes soulignent que les activités du festival relèvent des prérogatives de la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique et que toute instrumentalisation au service d'agendas politiques ou autres fera l'objet de questionnement devant les instances de la Fédération.
Les délégations arabes de la jeunesse et des étudiants, souligne le communiqué, dénoncent le fait que ce festival ait marginalisé les principales causes arabes, à leur tête la question palestinienne. Le Festival s'est ainsi démarqué de ses nobles objectifs relatifs à la consécration des valeurs de dialogue, de solidarité et de paix, ont-elles noté.