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Le débat actuellement en vogue sur la représentativité féminine au sein des instances élues constitue «une épreuve politique quant au respect de l'esprit et de la philosophie de la Constitution», en matière de parité et d'égalité, selon le Secrétariat national des femmes ittihadies.
Dans un communiqué, relayé mercredi par la MAP et publié à l'issue d'une réunion tenue récemment, cette organisation féminine a réitéré ses positions et suggestions au sujet de la représentativité féminine en perspective des prochaines échéances électorales.
Ladite organisation a aussi mis l'accent sur la participation de la femme à la gestion de la chose politique et publique, à travers la mise en œuvre du principe de parité et la consécration de l'acquis de la liste nationale des femmes, qui devrait être érigée en mécanisme permettant d'atteindre l'objectif de l'égalité.
Elle a également plaidé pour l'élargissement de cette liste en vue d’atteindre au moins le tiers, la nomination de 20 % des femmes comme mandataires de listes dans les circonscriptions locales et la non-reconduction des femmes déjà élues au Parlement sur la liste nationale.
Dans un communiqué, relayé mercredi par la MAP et publié à l'issue d'une réunion tenue récemment, cette organisation féminine a réitéré ses positions et suggestions au sujet de la représentativité féminine en perspective des prochaines échéances électorales.
Ladite organisation a aussi mis l'accent sur la participation de la femme à la gestion de la chose politique et publique, à travers la mise en œuvre du principe de parité et la consécration de l'acquis de la liste nationale des femmes, qui devrait être érigée en mécanisme permettant d'atteindre l'objectif de l'égalité.
Elle a également plaidé pour l'élargissement de cette liste en vue d’atteindre au moins le tiers, la nomination de 20 % des femmes comme mandataires de listes dans les circonscriptions locales et la non-reconduction des femmes déjà élues au Parlement sur la liste nationale.
