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Mais les questions en suspens et qui n’ont pas été abordées par l’article d’« El Pais » concernent les réseaux qui recrutent ces jeunes, les itinéraires pour se rendre en Syrie et le financement de leur voyage. Au mois d’avril, une dépêche de l’agence espagnole « EFE » avait déjà fait état des enquêtes menées par la police espagnole sur les « réseaux radicaux » qui se sont infiltrés dans la ville occupée pour recruter des mineurs, sans pour autant donner d’autres informations sur l’origine de ces réseaux. Lesquels ciblent des mineurs comme ce fut le cas de Noureddine, 16 ans, qui, selon la dépêche d’« EFE », avait téléphoné à ses parents, Ahmed et Touria, pour les informer qu’il se trouvait en Turquie et qu’il allait poursuivre sa route vers la Syrie pour combattre le régime de Bachar Al-Assad tout en leur demandant de lui pardonner, et en les informant « qu’il ne retournerait jamais » chez eux.