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Le député socialiste a fait savoir que ces irrégularités, à caractère financier, ont des répercussions non seulement sur les finances de l’Etat, mais aussi sur les contribuables qui se voient taxés à la source.
En s’adressant à Salah Eddine Mezouar, Khalid Hariri a indiqué que les différents services du ministère des Finances sont directement responsables du contrôle de ces établissements publics, au moment où ces dysfonctionnements ont été confirmés dans le cadre de la réponse sur le rapport.
Il s’est interrogé sur les mesures que le département de Mezouar compte prendre pour mettre fin à ces irrégularités financières et s’il y aura des poursuites judicaires à l’encontre des responsables de ces établissements.
L’interrogation du député usfpéiste trouve son explication dans le fait que les coupables passent, souvent, à travers les mailles du filet et échappent à toute poursuite judiciaire. L’impunité, par la force des choses, est devenue la norme, ce qui demande, selon Hariri, de l’audace et un changement radical de comportement.
Pour lui, la revendication de mettre fin à la prévarication satisfaite dans la nouvelle Constitution, restera lettre morte tant que les rapports de la Commission d’enquête parlementaire, de la Cour des comptes, l’Inspection générale des finances ne trouvent pas d’échos auprès des instances compétentes.
Pour trouver une issue à cette situation qui n’a fait que trop duré et pour redonner confiance aux citoyens dans nos institutions et dans l’action politique, Khalid Hariri estime que toute personne impliquée dans ces dossiers de prévarication doit rendre des comptes, a-t-il conclu.