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En effet, cet acte commis au siège de l'Office à Casablanca a été commandité par les syndicalistes de la FNTE/UMT qui ont enrôlé des sbires étrangers armés de matraques afin de faire barrage au dépôt desdites candidatures.
Pris au dépourvu, l'effet de surprise aidant, les militants du SDE-FDT ont essuyé un passage à tabac d'une rare violence.
Cet acte de banditisme qui ne dit pas son nom, perpétré sur un lieu de travail, fait fi des principes élémentaires de respect et n'a d'autre but que de nier à la fois la différence, la complémentarité et la pluralité.
A ces principes universels, les agresseurs ont opposé l'unilatéralisme en se cramponnant à des valeurs d'un autre âge. Mais il ne faut pas s'étonner de leurs agissements, eux qui, de tout temps, ont monopolisé la scène s'illustrant par la défense de leurs intérêts personnels et luttant en sourdine contre toute velléité de changement.
Devant l'autisme de ces éléments qui ont infesté le champ depuis toujours, n'est-il pas grand temps que ces supposés défenseurs de la classe ouvrière répondent de leurs actes qui, de surcroît, ne sont pas les premiers restés impunis, comme en attestent les violences qui avaient émaillé les élections de 2009 et 2010 ?
Par l'agression qu'ils ont commanditée contre les membres du SDE-FDT de l'ONE, ces éléments ont adressé un message à leurs futurs partenaires et collègues de l'ONEP, toutes tendances confondues, pour qu'ils se tiennent à carreau au sein de l'imminent ONE.