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"Avant la compétition on a parlé de beaucoup de problèmes qu'on vivrait en Russie (...) On a parlé d'incidents, de hooligans, de racisme: on n'a rien eu de tout cela", a rappelé Gianni Infantino.
"Si un tournoi à problèmes ressemble à ça, j'ai envie d'avoir beaucoup de tournois à problèmes à l'avenir", s'est encore amusé le président de la Fifa.
Les violences qui avaient touché l'Euro-2016 en marge du match Angleterre-Russie à Marseille étaient dans toutes les mémoires, mais aucun incident n'a été signalé pendant les 16 matches de la Coupe des Confédérations.
Un calme certain, bien aidé par le manque d'engouement que suscite le tournoi.
Avec une moyenne de 30.000 spectateurs par match au premier tour, certains stades ont sonné creux même si l'affluence moyenne finale (39.269 spectateurs) est similaire aux six tournois précédents, l'édition 2013 brésilienne mise à part (50.291 spectateurs de moyenne).
La sécurité a été extrêmement relevée pendant tout le tournoi, avec des contrôles à l'entrée des stades similaires à ceux des aéroports. Ce qui, bien aidé par la tradition des Russes à se rendre au stade à la dernière minute, a provoqué des files d'attente et des retards.
Les spectateurs devront aussi se familiariser avec le "passeport du supporter", document nominatif obligatoire à présenter en même temps que son billet: certains centres les délivrant ont été pris d'assaut juste avant le coup d'envoi des matches.









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