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Pour sa part, Baba Hmida Azzouz, membre du Syndicat démocratique de l'agriculture et coordonnateur national du secteur SODEA, a souligné que lors du dialogue social nous avons fait de la sauvegarde de l’emploi notre priorité notamment pour les temporaires et d'appliquer les lois en vigueur dans toutes les unités de production au niveau national.
Au terme de cette convention-cadre, a-t-il poursuivi, les temporaires ont été les premiers servis, et ce pour leur assurer un emploi à temps plein et un avenir meilleur.
Rappelons que la convention est axée sur quatre mesures. La première porte sur la motivation des employés au départ sur la base des principes du plan social SOGETA conclu en 2003, assortis d'une prime de départ. Une cinquantaine d’employés seront, par ailleurs, intégrés à travers leur redéploiement dans les établissements dépendants du ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime (Agence de développement agricole, centres régionaux d'investissement agricole..).
La deuxième mesure concerne la titularisation des employés temporaires aux emplois permanents. Cette convention permettra à près de 30 % des employés temporaires des deux sociétés d'accéder à des emplois à temps plein, selon leur classement par liste dans les fermes SODEA et SOGETA.
La troisième mesure porte sur la création d'une commission de suivi composée des représentants syndicaux ainsi que des représentants de l'établissement qui sera en charge du dossier du partenariat public/privé. Cette commission aura pour charge de traiter tous les aspects sociaux de l'opération.