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Driss Lachguar prône la nécessité d’une présence effective des pays du Sud au sein des instances décisionnelles internationales
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SM le Roi offre un dîner en l'honneur des invités et des participants au 17ème SIAM, présidé par le chef du gouvernement
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Machij El Karkri : Il nous revient, en tant que parti progressiste, de rétablir la vérité et de démontrer que le plan d’autonomie est la solution qui garantit le mieux la dignité, la paix et la stabilité
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La bureaucratie asphyxie les réformes
"La politique suivie par le Maroc concernant la question du Sahara se caractérise par le sérieux", a indiqué M. Pacheco, lors une déclaration à la presse à l'issue d’entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, précisant que le Brésil a pris une position formelle à l’égard de cette question.
En juin 2023, le Sénat brésilien avait adopté une motion de soutien à l’initiative marocaine d’autonomie au Sahara, appelant à un appui "plus expressif" aux efforts "sérieux et fiables" du Royaume dans la recherche d’une solution à ce conflit régional.
"Le Brésil a toujours adopté une position constructive et sensée en ce qui concerne ce conflit régional. Le moment est opportun pour notre pays de considérer la proposition d’autonomie présentée par le Maroc comme base réaliste et pragmatique d’une solution politique conforme aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies", souligne cette motion, signée par 28 sénateurs brésiliens de différents bords politiques.
A signaler que le Brésil, qui possède la plus grande influence diplomatique en Amérique Latine, n’a jamais reconnu la prétendue "rasd".