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Cette date a été fixée lors d'une réunion dans la nuit de samedi à dimanche entre les responsables de plusieurs partis politiques (majorité et opposition) et le ministre de l'Intérieur Taieb Cherkaoui, ont précisé les mêmes sources.
La date du 11 novembre a été retenue, mais ce scrutin pourrait être décalé de quelques jours, en raison de sa proximité avec la fête religieuse de l’Aid Al Adha, a indiqué à l'AFP Lahcen Daoudi, secrétaire général adjoint du Parti justice et développement (PJD, principale formation d'opposition).
A rappeler que la détermination de cette date intervient à une journée du dernier Conseil de gouvernement à l’issue duquel Khalid Naciri avait annoncé qu’"il a été avancé d’abord l’hypothèse du 7 octobre" pour les élections mais "si nous ne pouvons pas les faire à cette date, celle-ci sera inévitablement décalée de quelques semaines".
L'avancement de la date du scrutin, qui devait en principe se tenir à l'automne 2012, est dû à l'adoption lors d'un référendum le 1er juillet d'une nouvelle Constitution "
Selon les mêmes sources, le parti du progrès et du socialisme (PPS) et le Parti travailliste ont confirmé la date avancée de ces élections, "comme convenu avec le ministre de l'Intérieur".
Pour sa part, le Premier ministre Abbas El Fassi s'est contenté, selon la même source, de déclarer à l'AFP que "les partis et le ministère de l'Intérieur se sont mis d'accord pour la tenue du scrutin à la +mi-novembre+", sans mentionner la date du 11 de ce mois.
Lors de cette réunion, certains partis, en l’occurrence le PAM, le RNI, le MP et l’UC qui avaient appelé à annuler carrément la liste des jeunes n’ont pas caché leur volonté à organiser les élections avant fin octobre.
Au cours de cette réunion, il y a eu divergence sur le découpage électoral et la question du quota à adopter.