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Le nouveau single intitulé "Zina Ya Arbiya" que le chanteur Hamid Bouchnak s'apprête à lancer officiellement ce jeudi, se veut un bel hommage à la femme.
A travers cette chanson, d'une durée de 03mn45, où rythmes et sonorités "africaines" et "andalouses" s'interfèrent et s'entremêlent en toute subtilité et délicatesse, Hamid Bouchnak chante l'amour et l'espoir, en veillant soigneusement à rendre un vibrant hommage à la gent féminine.
Il s'agit, à ses yeux, d'un sujet intemporel sur une musique, certes, moderne et captivante mais aux influences multiples qui rappellent le caractère "afro-andalou cosmopolite".
Pour réaliser ce single, Hamid Bouchnak décide donc de tourner le clip à Oujda, sa ville natale en confiant la réalisation de cet opus artistique riche en couleurs, à Mohamed Hmimssa, alors qu’Ilyass Yahyaoui s'est occupé du montage. Quant au tournage, il a été assuré par le cameraman Mohamed Quoninich.
Avec ce nouveau single, dont la composition et l'arrangement sont signés Hamid Bouchnak, et les paroles de Hamid Bouchnak et Saïd Barka, cette icône de la chanson 100% jeunes continue de créer et de produire davantage de musique si raffinée et répondant à tous les goûts.
L'artiste s'est fait ainsi une belle et riche carrière en faisant appel à chaque fois aux rythmes et sonorités les plus hallucinantes.
Approché par la MAP, Hamid Bouchnak a dit toute sa joie et sa fierté de cette performance artistique si singulière de par les sonorités et rythmes "africains'' et "gharnatis" qui s'imbriquent en toute symbiose et en toute beauté.
"C'était pour moi un rêve de fusionner la musique africaine avec le gharnati qui se veut un style très raffiné et je suis tellement heureux de cette expérience", a-t-il dit, notant que les frères Bouchnak qui ont évolué dans un environnement "musical", étaient l'un des premiers groupes musicaux au Maroc à réaliser des fusions musicales captivantes.
Sur le choix de la ville d'Oujda pour tourner le clip de ce single, il a fait savoir que sa ville natale est considérée comme la capitale de la culture arabe et qu'il est donc légitime d'y tourner son clip vidéo pour la première fois de toute sa carrière riche d'une quarantaine d'années d'expérience.
"J'ai travaillé avec des jeunes et des associations oujdis en leur offrant cette opportunité. Mon objectif est de créer entre eux cette belle synergie et surtout, de mettre en relief la richesse et la diversité de la ville d'Oujda et tout l'effort qui a été déployé en vue de promouvoir et enrichir la scène culturelle et artistique", a-t-il relevé.
Il a réitéré sa fierté d'être un artiste "africain", notant qu'il est donc tout à fait normal que sa musique comporte ces rythmes africains, avec des influences d'une musique universelle.
Au sein du groupe "Frères Bouchnak", l'une des réussites les plus évidentes est celle de Hamid, qui a commencé à chanter avec ses frères à l'âge de 13 ans. Le doué benjamin, signataire des plus importants titres de la formation et voix lead de la bande, s'était déjà distingué par quelques escapades en solitaire. Toutefois, c'est par le biais d'albums comme "Morrocan'Rock" (1995), et surtout "A Chebba" (1997) qui avait nécessité plus de 4 mois de travail dans son studio à Lille (France), que Hamid a pu imposer son nom. Au passage, Hamid a raflé le prix de la meilleure chanson francophone délivré par MCM pour l'interprétation du titre "Ma bka lina amal" (Il ne nous reste plus d'espoir), en duo avec son ami Malek.
En 1998, Hamid s'est illustré par un air appelé à faire le tour des stades puisque "Allez allez" a été composé en hommage à l'équipe nationale qui en est à son quatrième mondial.
Après une absence de trois ans, Hamid signait son retour fracassant avec la chanson "Moussem", un album réussi et bien abouti, lancé à partir de Marrakech en 2004. Les succès vont se poursuivre avec en début 2007, la réalisation en duo "historique" avec El Hejja El Hamdaouiya du titre "Al Kass Hlou" qui a connu un succès fulgurant, suivi, en mai 2008, de la sortie du 10ème album qu'il appelait tout simplement "Hamid".
A travers cette chanson, d'une durée de 03mn45, où rythmes et sonorités "africaines" et "andalouses" s'interfèrent et s'entremêlent en toute subtilité et délicatesse, Hamid Bouchnak chante l'amour et l'espoir, en veillant soigneusement à rendre un vibrant hommage à la gent féminine.
Il s'agit, à ses yeux, d'un sujet intemporel sur une musique, certes, moderne et captivante mais aux influences multiples qui rappellent le caractère "afro-andalou cosmopolite".
Pour réaliser ce single, Hamid Bouchnak décide donc de tourner le clip à Oujda, sa ville natale en confiant la réalisation de cet opus artistique riche en couleurs, à Mohamed Hmimssa, alors qu’Ilyass Yahyaoui s'est occupé du montage. Quant au tournage, il a été assuré par le cameraman Mohamed Quoninich.
Avec ce nouveau single, dont la composition et l'arrangement sont signés Hamid Bouchnak, et les paroles de Hamid Bouchnak et Saïd Barka, cette icône de la chanson 100% jeunes continue de créer et de produire davantage de musique si raffinée et répondant à tous les goûts.
L'artiste s'est fait ainsi une belle et riche carrière en faisant appel à chaque fois aux rythmes et sonorités les plus hallucinantes.
Approché par la MAP, Hamid Bouchnak a dit toute sa joie et sa fierté de cette performance artistique si singulière de par les sonorités et rythmes "africains'' et "gharnatis" qui s'imbriquent en toute symbiose et en toute beauté.
"C'était pour moi un rêve de fusionner la musique africaine avec le gharnati qui se veut un style très raffiné et je suis tellement heureux de cette expérience", a-t-il dit, notant que les frères Bouchnak qui ont évolué dans un environnement "musical", étaient l'un des premiers groupes musicaux au Maroc à réaliser des fusions musicales captivantes.
Sur le choix de la ville d'Oujda pour tourner le clip de ce single, il a fait savoir que sa ville natale est considérée comme la capitale de la culture arabe et qu'il est donc légitime d'y tourner son clip vidéo pour la première fois de toute sa carrière riche d'une quarantaine d'années d'expérience.
"J'ai travaillé avec des jeunes et des associations oujdis en leur offrant cette opportunité. Mon objectif est de créer entre eux cette belle synergie et surtout, de mettre en relief la richesse et la diversité de la ville d'Oujda et tout l'effort qui a été déployé en vue de promouvoir et enrichir la scène culturelle et artistique", a-t-il relevé.
Il a réitéré sa fierté d'être un artiste "africain", notant qu'il est donc tout à fait normal que sa musique comporte ces rythmes africains, avec des influences d'une musique universelle.
Au sein du groupe "Frères Bouchnak", l'une des réussites les plus évidentes est celle de Hamid, qui a commencé à chanter avec ses frères à l'âge de 13 ans. Le doué benjamin, signataire des plus importants titres de la formation et voix lead de la bande, s'était déjà distingué par quelques escapades en solitaire. Toutefois, c'est par le biais d'albums comme "Morrocan'Rock" (1995), et surtout "A Chebba" (1997) qui avait nécessité plus de 4 mois de travail dans son studio à Lille (France), que Hamid a pu imposer son nom. Au passage, Hamid a raflé le prix de la meilleure chanson francophone délivré par MCM pour l'interprétation du titre "Ma bka lina amal" (Il ne nous reste plus d'espoir), en duo avec son ami Malek.
En 1998, Hamid s'est illustré par un air appelé à faire le tour des stades puisque "Allez allez" a été composé en hommage à l'équipe nationale qui en est à son quatrième mondial.
Après une absence de trois ans, Hamid signait son retour fracassant avec la chanson "Moussem", un album réussi et bien abouti, lancé à partir de Marrakech en 2004. Les succès vont se poursuivre avec en début 2007, la réalisation en duo "historique" avec El Hejja El Hamdaouiya du titre "Al Kass Hlou" qui a connu un succès fulgurant, suivi, en mai 2008, de la sortie du 10ème album qu'il appelait tout simplement "Hamid".