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La décision est intervenue, lors de la première séance du procès en appel, suite à une requête de la défense pour préparer sa plaidoirie.
Des jugements allant de l'acquittement à cinq ans de prison ferme avaient été prononcés en première instance, le 20 février dernier, à l'encontre des six personnes poursuivies dans le cadre de cette affaire, parmi elles l'accusé principal, Taoufik Ibrahimi, ex-directeur général de "Comanav", qui a écopé de cinq ans de prison ferme pour "préparation, incitation et participation au sabotage d'établissements publics (ports et bateaux) et entrave à la liberté du travail", la Cour l'ayant blanchi du chef d'inculpation de "constitution d'une bande criminelle et divulgation du secret professionnel".
Cinq autres personnes, à savoir l'ancien directeur central des ressources humaines, un ancien attaché à l'Institut scientifique de la pêche maritime, l'ancien secrétaire général du syndicat des marins et l'ancien secrétaire général du syndicat des dockers, sont poursuivies dans cette affaire pour "incitation et participation au sabotage d'établissements publics (ports et bateaux) et entrave à la liberté du travail", conformément aux articles 129, 288 et 591 du Code pénal, alors qu'un marin exerçant au port Tanger-Med a été acquitté.
Cette affaire avait été déférée devant la Cour d'appel de Rabat le 19 juin dernier.