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Driss Lachguar : Les récentes catastrophes à Safi et à Fès ont révélé l’incapacité gouvernementale à passer d'une logique de gestion circonstancielle à une logique de prévention et d'anticipation
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Chutes de neiges et fortes pluies et rafales de vent jusqu’à mercredi
En dépit de toutes les patrouilles terrestres et aériennes et nonobstant les plans sécuritaires de Mohamed Lamin Bouhali, l’un des faucons du Polisario qui n’a pas tari de menaces, lors de la rencontre précitée, contre les dirigeants et cadres qui auraient des desseins de rallier le Maroc, les ralliements continuent et en grand nombre. En fait, la même réunion avait été consacrée également à l’examen des nouvelles mesures face à la nouvelle donne provoquée par Moustapha Ould Salma Ould Sidi Mouloud, chef de « la police du Polisario», qui compte retourner aux camps de Tindouf, alors même qu’il a crié haut et fort son adoption du plan d’autonomie. Là aussi Bouhali et Ghali étaient pour l’escalade, la crainte de voir d’autres dirigeants, silencieux depuis un certain temps, rallier la mère-patrie, étant peut-être le dernier coup de massue porté aux chimères du Polisario. En attendant les gros calibres, les Sahraouis affichent de plus en plus leur position et choisissent librement de quitter les camps et rallier leur pays. L’information confirme le ras-le-bol général prévalant dans les camps et la détermination des Sahraouis de fuir le goulag où les parque depuis 35 ans, l’Algérie, pour ses visées géostratégiques. C’est désormais plus d’un millier de ralliés depuis le mois de janvier dernier, et le recensement des populations de Tindouf n’a jamais été aussi indispensable.











