-
Driss Lachguar présidera le Congrès national du secteur de l’enseignement ittihadi
-
Gilbert F.Houngbo : La justice sociale, tributaire d’un accès équitable aux opportunités
-
Le CESE recommande une convergence des programmes sectoriels pour réintégrer les jeunes NEET dans le cycle de développement
-
Zakaria Farahat : La Vision Royale en matière de promotion des IDE a su transformer les défis en opportunités
-
SM le Roi reçoit SAR le Prince Turki Ben Mohammed Ben Fahd Ben Abdelaziz Al Saoud, émissaire du Serviteur des Lieux Saints de l’Islam, porteur d’un message au Souverain
D'ores et déjà alors que l'assujestissement aux nouvelles règles de conduite est à ses tout premiers débuts, les prix des fruits et légumes ont pris l'ascenseur. La ménagère a ainsi eu la trop désagréable surprise de devoir casquer dix dirhams pour un kilo de tomate et huit pour celui des patates, pour ne citer que ces deux légumes omniprésents, voire indispensables dans le tajine marocain.
Quel rapport pourrait-il y avoir entre un Code de la route et une augmentation aussi vertigineuse des prix. Aussi simple, mais surtout insolite que cela puisse paraître, les transporteurs n'ont daigné faire parvenir la marchandise proposée à destination que contre une augmentation allant jusqu'à 200%. Le prix ? de transport par kilo est ainsi passé de 20 à 60 centimes. Normal donc que cela se répercute sur les prix au marché. C'est là, la réaction des transporteurs à cette contrainte qui met fin au laisser-aller dont ils bénéficiaient jusque-là et qui leur permettait de dépasser de loin le poids de la cargaison réglementaire.
Et bien sûr, il n'y a pas que les prix des fruits et légumes, mais aussi celui concernant toutes les autres marchandises, à commencer par le sable et autres matériaux de construction, … etc
Qu'en sera-t-il à propos de ces transports scolaires privés où l'on a pour habitude d'entasser une trentaine d'écoliers là où il n'y a de place que pour une quinzaine tout au plus?