-
Barid Al-Maghrib émet un timbre-poste commémoratif célébrant le centenaire du notariat au Maroc
-
Le modèle marocain de pluralisme et de vivre-ensemble célébré à Washington à l’occasion de la Hanoukka
-
Parlement: Plaidoyer pour une stratégie sportive globale, équitable et inclusive
-
Mohamed Salem Cherkaoui : L'Agence Bayt Mal Al-Qods Acharif a financé des projets d'une valeur de huit millions de dollars en 2025
A travers la carte des prérogatives, le parti de la Rose tient en fait à mettre en exergue le système de la responsabilité politique entre toutes les parties, sans lequel il n’y aurait pas de vie démocratique régionale. Il s’agit, selon la vision déclinée par l’USFP, de constitutionnaliser le rôle du wali, actuel ordonnateur de la région et de clarifier le pouvoir exécutif. «Représentant de l’Etat, le wali doit être l’interlocuteur du premier ministre et des membres du gouvernement. De la même manière, il doit présenter des rapports annuels devant le conseil de la région», explique Mohamed Al Achaari. «Le problème n’est pas de savoir qui doit être l’ordonnateur, le wali ou le président de la région? Il s’agit d’entamer une réflexion plus profonde que cela qui peut aboutir peut-être à des gouvernements locaux, à des présidents-ministres. En tout cas, il faut garder à l’esprit que les choses peuvent évoluer», conclut A. Radi.











