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Dans le mémoire qu’ils devaient lui remettre en l’occasion, les trois syndicats proposent une augmentation de 700 dirhams du traitement mensuel des fonctionnaires classés dans les échelles de 5 et 9 et de 600 DH pour ceux classés à l’échelle 10 et plus.
Les centrales syndicales ont également réclamé que le quota de promotion soit porté des 28% proposés par le gouvernement à 33% à compter de janvier 2011. De plus, le délai maximal pour la promotion devrait être de trois ans au lieu des cinq proposés par l’Exécutif , en accordant une priorité aux fonctionnaires proches de la retraite. Ils ont également demandé la création de nouveaux échelons de promotion.
Pour ce qui est des retraités, les trois syndicats proposent que les pensions de retraite des secteurs public et privé soient augmentées et que le gouvernement s’engage à assurer un logement décent à tous les employés et fonctionnaires dont le revenu est inférieur ou égal à 5.000 DH.
En ce qui concerne le secteur privé, les doléances syndicales ont été comme suit : augmentation du SMIG de 20% en 2 ans, soit 10% d’augmentation en 2011 et 10% en 2012. En outre, les syndicats demandent que le SMAG soit aligné sur le SMIG à 3000 DH.
A rappeler que lors de l’ouverture de la session d’avril, le gouvernement avait proposé une augmentation des salaires de 500 dirhams à compter du 1er juillet, qui coûtera au Trésor quelque 7 milliards de dirhams. Dans le secteur privé, le gouvernement a suggéré d'augmenter le salaire minimum (SMIG) de 10% et de faire passer le montant des retraites de 600 à 1 000 dirhams.
De plus, les autorités étudient un régime d'assurance pour les employés lorsque leur entreprise se met en faillite et qu'elle se trouve dans l'incapacité d'honorer ses engagements sociaux envers ses salariés. Elles ont également promis de présenter une loi sur les indemnisations en cas de perte d'emploi.