Pour le si petit Abdelkader en question, un Maghreb uni constitue manifestement un cauchemar plutôt qu’un rêve caressé par des millions de Maghrébins.
Là on comprend, si l’on a étouffé l’idée d’un grand Maghreb, c’est parce que des dirigeants de la trempe dudit Messahel n’y trouvent pas leur compte … bancaire en premier.
Plus la tension monte, plus une certaine junte et certains civils/dociles se sucrent. Contrebande, trafic d’armes et autres trafics de tous genres aidant…
De plus, ce qui dénote de la petitesse d’esprit de ce supposé dirigeant, c’est le langage utilisé, ajouté qui plus est, à un contenu nul fait de mensonges, de balivernes, d’inepties…
En mal d’arguments, le petit Abdelkader n’a rien trouvé de mieux pour chercher à convaincre des patrons algériens qui avaient cité le Maroc en exemple que de s’en prendre à ce pays en des termes calomnieux, grotesques et dignes du dernier des voyous.
La percée diplomatique et économique du Royaume en Afrique, avec la présence remarquée de banques marocaines, n’est bien évidemment pas faite pour être à son goût. Un pitoyable raccourci est vite trouvé dans la petite cervelle qui est la sienne. Le Maroc, ose-t-il sans sourciller, sans vergogne aucune, procède en Afrique au blanchiment de l’argent du haschisch à travers ses banques. Plus con tu crèves !
Et, histoire d’amuser encore plus la galerie, le triste personnage s’en prend à Royal Air Maroc qui, selon lui, transporte « autre chose » (sic) que des passagers. La Compagnie nationale tout comme le Groupement professionnel des banques du Maroc n’ont pas manqué de lui signifier sa totale ignorance pour ne pas dire plus. Ils ont été, on va dire, et de loin, plus diplomates que lui.
Pardi, nom de Dieu ! m… ! Mais l’Algérie mérite sûrement mieux que des illettrés, des fabulateurs, de pauvres nervis pour gérer ses affaires. De toute évidence, le gars en question ne lit pas. Pourrait-il d’ailleurs se le permettre au vu de son niveau ? Mais au moins qu’il se donne la peine de regarder d’autres télés que celles qui le caressent dans le sens du … poil. Il aurait pu constater l’accueil exceptionnel, populaire réservé à Sa Majesté le Roi Mohammed VI à chacune de ses visites en Afrique.
On aurait aimé, tout en souhaitant un prompt rétablissement au président Bouteflika, qu’Alger en fasse autant. On aurait aimé qu’Alger comprenne que les arguments sonnants et trébuchants ne peuvent pas ne pas être de courte durée. Avec l’écroulement des prix du pétrole et du gaz, elle l’aura tout au moins constaté à ses dépens.
Mais avec des gens comme Messahel, cela relève, hélas, de l’impossible.
Cela dit, il ne serait pas inutile de préciser que tout en ressentant une fierté légitime quand des actions positives sont accomplies, nous aspirons encore et toujours à mieux.
Et entre autres à nous comparer à d’autres pays plutôt qu’à une Algérie que des Messahel ne cessent d’enfoncer.
Et pour finir, il ne serait sûrement pas superflu de rappeler à ce triste individu que, de par son ignorance notoire, il n’a pas fait que chercher à diffamer le Maroc. Il a dans son détestable élan injurié les pays africains partenaires du Royaume et au niveau maghrébin, la Tunisie, l’Egypte et la Libye. « Pour Doing Business, a-t-il commis, il n’y a que l’Algérie dans la région ». Sauf que le fieffé menteur, le piètre calomniateur a omis que le classement est là. Il se suffit à lui-même.
Le Rapport Doing Business 2017 place le Maroc à la 68ème place, la Tunisie à la 77ème et l’Egypte à la 122ème.
Et l’Algérie de Messahel ? Me diriez-vous. Et ben à la 156ème place ! Pas de quoi être fier ! Mais on vous l’a bien dit. Le gars ne lit pas. Il ne le peut tout simplement pas.