-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP

Ainsi, Yassine Bounejra s’est vu sa peine ferme portée de 8 à 10 ans par la Cour d’appel qui a décidé également de porter de 6 ans à 10 ans la peine de Khaled El Ayachi et de 3 ans à 10 ans de Hicham Maâch.
Les autres peines d’emprisonnement durcies concernent Abdessamad Lamsimi qui écopera de 8 ans au lieu de 6 ans et Abdelmoula Lhafi, Mustapha Zaoui, Mohamed Labjili et Abdelkébir Chaoui dont leurs peines se prolongeront d’une année supplémentaire, de 4 ans à 5 ans.
D’un autre côté, la Cour a confirmé les jugements rendus en première instance à l’encontre des 42 autres accusés, qui vont de l’acquittement à 30 ans de prison ferme.
La Chambre criminelle de premier degré avait rendu, en octobre 2008, des jugements allant de l’acquittement à 30 ans de prison ferme à l’encontre des 51 membres de la cellule Raydi, dont une femme qui a écopé de deux ans avec sursis. Quatre personnes étaient acquittées, notamment Younès Zitouni, Mohamed El Hamdaoui, Hamid Taouil et Adil Hinouni. Les membres du groupe sont originaires de Casablanca, Mohammedia, El Gara, Salé, Kénitra et Agadir.
Ces prévenus ont été poursuivis pour “constitution d’une bande criminelle dans le but de préparer et de commettre des actes terroristes en relation avec un projet collectif visant à troubler l’ordre public par la peur et la terreur”, “fabrication et possession d’explosifs”, “agression préméditée contre des personnes”, “actes de sabotage”, “homicide volontaire et guet-apens”, “vols qualifiés”, “faux et usage de faux”, “financement de terrorisme” et “non dénonciation d’actes terroristes”.