
Autres articles
Le coup d'envoi de la 5ème édition de la Semaine du cinéma ivoirien au Maroc a été donné, lundi soir au cinéma "La Renaissance" à Rabat, en présence de la directrice générale de l’Office national du cinéma de Côte d’Ivoire (ONAC-CI), Diomande Lison Fall Johnson, du directeur par intérim du Centre cinématographique marocain (CCM), Abdelaziz El Bouzdaini et d’une délégation de professionnels du cinéma ivoirien.
Cette manifestation culturelle, organisée par le CCM en partenariat avec l'ONAC-CI, s’inscrit dans le cadre de l'accord de coproduction et d'échanges cinématographiques signé entre le Royaume du Maroc et la République de Côte d’Ivoire, à Abidjan le 28 novembre 2011, visant à renforcer la coopération cinématographique entre les deux pays.
Dans une allocution prononcée à cette occasion, Mme Lison Fall Johnson s'est félicitée de la pérennisation de cet événement durant cinq éditions, ce qui traduit, d'une part, la vitalité de la coopération entre le Maroc et la Côte d'Ivoire, et de l'autre la volonté des deux parties de perpétuer cette manifestation cinématographique.
Et de souligner que ce rendez-vous culturel se veut "une occasion privilégiée" de renforcer les échanges et la collaboration entre les professionnels du cinéma ivoirien et marocain.
"Nous sommes convaincus que de telles rencontres sont essentielles pour favoriser la coproduction, la diffusion et la promotion de nos films respectifs", a fait remarquer Mme Lison Fall Johnson.
De son côté, M. El Bouzdaini a affirmé que cette manifestation honore la vitalité du cinéma ivoirien et rappelle fortement le rôle stratégique du soft power culturel dans le rapprochement entre les peuples.
Cette Semaine renforce les synergies et encourage les échanges professionnels du 7ème art, offrant à travers les films projetés, le reflet d’une culture ivoirienne riche, vivante et plurielle, a-t-il précisé, ajoutant qu'au-delà de la coproduction, la coopération maroco-ivoirienne se traduit par une reconnaissance du talent ivoirien dans l’écosystème cinématographique marocain.
L'ouverture de cette édition a été marquée par la projection du long-métrage "Gla" de son réalisateur Landry Agbadou. Ce film de 75 minutes retrace l’histoire de Max, un ancien policier qui a été plongé dans un abîme de douleur et de désespoir après la mort tragique de sa fille lors d’une affaire non résolue.
Dans une déclaration à la MAP, Landry Agbadou a exprimé sa joie de projeter son film au Maroc, soulignant que "le cinéma ivoirien, bien qu'ancien, demeure relativement jeune comparé au cinéma marocain".
Pour le réalisateur, cette manifestation a notamment pour ambition de favoriser la croissance du cinéma ivoirien et de contribuer à son rayonnement à l’international.
Au programme de cette édition figurent également la projection d’une série de films ivoiriens, notamment "Gazoua doit mourir" de Koffi Oi Kanian, "Maman" d’Owell Brown, "Opaah Noël" de Franck Fokus et "Silence Mortel" de Joël Kongo.
Cet évènement, qui se poursuit jusqu'au 1er mai, constitue une vitrine de la richesse et du dynamisme du cinéma ivoirien. Il illustre l’engagement constant du Maroc en faveur de la promotion des expressions culturelles africaines et du développement d’une coopération cinématographique Sud-Sud renouvelée.
Cette manifestation culturelle, organisée par le CCM en partenariat avec l'ONAC-CI, s’inscrit dans le cadre de l'accord de coproduction et d'échanges cinématographiques signé entre le Royaume du Maroc et la République de Côte d’Ivoire, à Abidjan le 28 novembre 2011, visant à renforcer la coopération cinématographique entre les deux pays.
Dans une allocution prononcée à cette occasion, Mme Lison Fall Johnson s'est félicitée de la pérennisation de cet événement durant cinq éditions, ce qui traduit, d'une part, la vitalité de la coopération entre le Maroc et la Côte d'Ivoire, et de l'autre la volonté des deux parties de perpétuer cette manifestation cinématographique.
Et de souligner que ce rendez-vous culturel se veut "une occasion privilégiée" de renforcer les échanges et la collaboration entre les professionnels du cinéma ivoirien et marocain.
"Nous sommes convaincus que de telles rencontres sont essentielles pour favoriser la coproduction, la diffusion et la promotion de nos films respectifs", a fait remarquer Mme Lison Fall Johnson.
De son côté, M. El Bouzdaini a affirmé que cette manifestation honore la vitalité du cinéma ivoirien et rappelle fortement le rôle stratégique du soft power culturel dans le rapprochement entre les peuples.
Cette Semaine renforce les synergies et encourage les échanges professionnels du 7ème art, offrant à travers les films projetés, le reflet d’une culture ivoirienne riche, vivante et plurielle, a-t-il précisé, ajoutant qu'au-delà de la coproduction, la coopération maroco-ivoirienne se traduit par une reconnaissance du talent ivoirien dans l’écosystème cinématographique marocain.
L'ouverture de cette édition a été marquée par la projection du long-métrage "Gla" de son réalisateur Landry Agbadou. Ce film de 75 minutes retrace l’histoire de Max, un ancien policier qui a été plongé dans un abîme de douleur et de désespoir après la mort tragique de sa fille lors d’une affaire non résolue.
Dans une déclaration à la MAP, Landry Agbadou a exprimé sa joie de projeter son film au Maroc, soulignant que "le cinéma ivoirien, bien qu'ancien, demeure relativement jeune comparé au cinéma marocain".
Pour le réalisateur, cette manifestation a notamment pour ambition de favoriser la croissance du cinéma ivoirien et de contribuer à son rayonnement à l’international.
Au programme de cette édition figurent également la projection d’une série de films ivoiriens, notamment "Gazoua doit mourir" de Koffi Oi Kanian, "Maman" d’Owell Brown, "Opaah Noël" de Franck Fokus et "Silence Mortel" de Joël Kongo.
Cet évènement, qui se poursuit jusqu'au 1er mai, constitue une vitrine de la richesse et du dynamisme du cinéma ivoirien. Il illustre l’engagement constant du Maroc en faveur de la promotion des expressions culturelles africaines et du développement d’une coopération cinématographique Sud-Sud renouvelée.