Autres articles
-
Dans un contexte marqué par la détérioration du pouvoir d’achat, la FDT est appelée à revenir en force sur la scène syndicale
-
L'alliance stratégique entre le Maroc et les Etats-Unis célébrée à Washington
-
Une délégation parlementaire marocaine réitère à Istanbul la position constante du Royaume concernant la justesse de la cause palestinienne
-
AG de l'ONU: Le Mouvement des non-alignés réaffirme son appréciation des efforts de SM le Roi pour défendre la cause palestinienne
-
La pertinence du plan d'autonomie marocain mise en avant au Parlement britannique
Casablanca, 18 décembre 1975. Vers 15 heures, l’assassinat politique le plus crapuleux et le plus barbare des années de plomb allait être commis à proximité du 91, rue Camille Desmoulins (aujourd’hui boulevard Al Massira Al Khadra). La victime : Omar Benjelloun, homme de gauche, militant au long cours, idéologue, syndicaliste, ingénieur, avocat, journaliste et, surtout, l’un des opposants les plus virulents et les plus en vue de ce Maroc en pleine effervescence.
Son assassinat fut un acte terroriste, planifié par ceux qui ont fait du meurtre sous couvert de la religion, une idéologie. Des membres de la Chabiba Islamya ont été les instruments de ce crime odieux avec la complicité des services de sécurité de l’époque, obsédés par une indicible volonté d’endiguer l’avancée de la pensée ittihadie, notamment après le succès des travaux du Congrès extraordinaire de janvier 1975.
En mettant un terme à la vie d’un leader politique, les hérauts de l’obscurantisme croyaient pouvoir ébranler le parti des forces populaires, ses valeurs, ses principes et son action. Il n’en fut rien puisque l’USFP n’a jamais dévié de sa voie et que sa force et sa détermination n’en sont sorties que plus grandes et plus aguerries.
37 années se sont écoulées depuis lors, mais les enseignements d’Omar et son souvenir demeurent vivaces dans la mémoire des militants et militantes ittihadis et également dans celle de toutes les forces de gauche et de l’ensemble du peuple marocain.
Il fut et il demeurera à jamais l’exemple du parfait militant qui ne recule devant aucun sacrifice pour que le Maroc puisse profiter à tous les Marocains.
Lire "Horizons"
Son assassinat fut un acte terroriste, planifié par ceux qui ont fait du meurtre sous couvert de la religion, une idéologie. Des membres de la Chabiba Islamya ont été les instruments de ce crime odieux avec la complicité des services de sécurité de l’époque, obsédés par une indicible volonté d’endiguer l’avancée de la pensée ittihadie, notamment après le succès des travaux du Congrès extraordinaire de janvier 1975.
En mettant un terme à la vie d’un leader politique, les hérauts de l’obscurantisme croyaient pouvoir ébranler le parti des forces populaires, ses valeurs, ses principes et son action. Il n’en fut rien puisque l’USFP n’a jamais dévié de sa voie et que sa force et sa détermination n’en sont sorties que plus grandes et plus aguerries.
37 années se sont écoulées depuis lors, mais les enseignements d’Omar et son souvenir demeurent vivaces dans la mémoire des militants et militantes ittihadis et également dans celle de toutes les forces de gauche et de l’ensemble du peuple marocain.
Il fut et il demeurera à jamais l’exemple du parfait militant qui ne recule devant aucun sacrifice pour que le Maroc puisse profiter à tous les Marocains.
Lire "Horizons"
