-
Le Forum de dialogue des magistrats africains se penche à Addis-Abeba sur son plan d'action 2024-2026
-
Nizar Baraka réélu secrétaire général du Parti de l’Istiqlal
-
Miguel Angel Moratinos. Le soutien de l’Espagne au plan d’autonomie marocain traduit un engagement politique et stratégique
-
L'OSPDH dénonce les exécutions arbitraires de jeunes séquestrés dans les camps de Tindouf
-
Les rencontres et concertations entre Rabat et Paris vont bon train
Cependant, silence radio de la part des parties concernées pour cette nouvelle manche d'un dialogue, il est vrai, fait illusion.
Devrait-on rappeler le flou, les hésitations, les atermoiements qui caractérisent la position, si position il y a, du Polisario. La toute dernière serait à mettre à l'actif ou au passif (c'est du pareil au même) d'un certain Brahim Ghali qui se fait nommer ambassadeur chez lui, à Alger donc et qui a déclaré dernièrement que " le Polisario est prêt à engager des négociations sérieuses avec le Maroc sous les auspices des Nations unies pour une solution juste et durable ". Pour lui, de deux choses l'une : "Soit que l'ONU établisse un agenda précis, soit qu'elle condamne la partie qui entrave le processus des négociations ".
Mais il a tout de même la présence d'esprit en précisant que " l'engagement de pourparlers dans un contexte régional et international soutenant le projet d'autonomie du Sahara ne peut en aucun cas jouer en faveur du Polisario ".
A rappeler que les derniers contacts entre les deux parties ont eu lieu le mois de mars dernier dans le comté de Wischester à New York.