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S’ il connaît le monde des médias et sait comment se positionner devant la caméra depuis près de 15 ans, Nikos Aliagas n’a pas toujours eu de succès auprès de l’audience. Comme il l‘explique à Mouloud Achour dans Le Grand Journal sur Canal+, il a connu un début difficile à la présentation de la Star Academy en 2001. "Quand je suis arrivé à TF1, je ne devais pas faire la Star Ac. Je me retrouve là au bon moment et j’y vais", a déclaré le pré- sentateur. S’il a accepté cette proposition par défi et non pour la reconnaissance et l’argent, il a tout de même eu du mal à dé- coller. "Allons jouer. Descends dans l’arène. La vie est courte. Mais j’ai pris cher. Boum Boum Boum. Qu’est-ce que c’est que cette baltringue, etc". Avec sa joie de vivre, son enthousiasme et sa capacité d’analyse, il parvient à lancer sa carrière. Les coups de fils s’enchaînent et l’animateur vit ses rêves. Une ascension pour laquelle il ne regrette pas de s’être battu. Le petit nouveau de l’époque a depuis fait ses armes. Il a montré tout ce dont il était capable pour dynamiser les programmes des chaînes françaises, notamment pour la télé-réalité. La preuve, il présente aujourd'hui les NRJ Music Awards et The Voice et a même sa statue au musée Grévin.