-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP
«Le Maroc agit selon une doctrine et des principes clairs lorsqu’il s’agit de faire la différence entre l’appartenance à une organisation et la reconnaissance des entités qui pourraient en faire partie mais que le Maroc ne reconnaît pas», a-t-il ajouté.
Dans cet exercice en particulier, «l’aberration est flagrante», a souligné le ministre, se demandant comment une entité qui n’a pas de territoire pourrait appartenir à une zone de libre-échange .
«Si cette entité va faire du commerce à partir de Tindouf, ça va être du commerce interne dans un autre pays de l’Union africaine qui est l’Algérie», a poursuivi Nasser Bourita, se demandant : «Avec quelle monnaie cette entité va-t-elle le faire ? Si ce commerce aura lieu, c’est avec la monnaie algérienne».
Aussi, s’est exclamé le ministre, «si les marchandises doivent passer par une douane, ça sera celle de l’Algérie, donc c’est ça l’aberration que le Maroc a tenu à soulever».