Autres articles
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
-
Des shampoings aux aspirateurs, le petit commerce souffre des droits de douane de Trump
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya
Le monde a connu moins de catastrophes naturelles en 2009 que dans les dix années précédentes, mais les phénomènes climatiques extrêmes restent meurtriers et économiquement dommageables, annoncent les Nations unies.
Selon le rapport Stratégie internationale pour la réduction des désastres publié à l'occasion du sommet de Copenhague sur le changement climatique, on a compté cette année 245 catastrophes naturelles, dont 224 directement liées au temps, contre un pic de 434 en 2005.
Au total, 8.900 personnes ont été tuées à la suite de ces catastrophes, dont 7.000 peuvent être classées comme victimes du temps, les autres l'étant de phénomènes comme des tremblements de terre ou des éruptions volcaniques. Les dégâts directement imputés au climat se montent à 15 milliards de dollars, sur un total de 19 milliards.
Les chiffres pour 2009 sont "une bonne nouvelle" mais "les catastrophes climatiques extrêmes restent en tête de liste et continueront à affecter de plus en plus de gens à l'avenir", a estimé Margareta Wahlstrom, représentante spéciale du secrétaire général de l'Onu pour la réduction du risque de catastrophe.
Michel Jarraud, secrétaire général de l'Organisation météorologique mondiale, a estimé que le progrès dans la surveillance, la prévision et la gestion des phénomènes climatiques avait contribué à la réduction de leur mortalité.
L'Asie est le continent le plus vulnérable aux tempêtes et inondations, selon le rapport de l'Onu, qui précise que 48 millions d'Asiatiques ont été affectés par ces phénomènes depuis le début de l'année, sur un total global de 58 millions.
Selon le rapport Stratégie internationale pour la réduction des désastres publié à l'occasion du sommet de Copenhague sur le changement climatique, on a compté cette année 245 catastrophes naturelles, dont 224 directement liées au temps, contre un pic de 434 en 2005.
Au total, 8.900 personnes ont été tuées à la suite de ces catastrophes, dont 7.000 peuvent être classées comme victimes du temps, les autres l'étant de phénomènes comme des tremblements de terre ou des éruptions volcaniques. Les dégâts directement imputés au climat se montent à 15 milliards de dollars, sur un total de 19 milliards.
Les chiffres pour 2009 sont "une bonne nouvelle" mais "les catastrophes climatiques extrêmes restent en tête de liste et continueront à affecter de plus en plus de gens à l'avenir", a estimé Margareta Wahlstrom, représentante spéciale du secrétaire général de l'Onu pour la réduction du risque de catastrophe.
Michel Jarraud, secrétaire général de l'Organisation météorologique mondiale, a estimé que le progrès dans la surveillance, la prévision et la gestion des phénomènes climatiques avait contribué à la réduction de leur mortalité.
L'Asie est le continent le plus vulnérable aux tempêtes et inondations, selon le rapport de l'Onu, qui précise que 48 millions d'Asiatiques ont été affectés par ces phénomènes depuis le début de l'année, sur un total global de 58 millions.