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En marge du symposium de Dakhla, Libé a rencontré Mohamed Alami,
président du Groupe socialiste à la Chambre des conseillers. Entretien.
Libé : Que pouvez-vous nous dire à propos du symposium de Dakhla ?
Mohamed Alami : Nous, en tant que membres de la Chambre des conseillers dont la plupart des composantes sont issues des collectivités locales, nous avons voulu nous rendre sur le terrain et ouvrir un dialogue avec les conseils régionaux, avec les populations et les élus de communes locales pour convaincre le gouvernement de la nécessité d’accélérer les procédures de transfert des prérogatives afin de rendre effective l’initiative de développement des nos différentes provinces en commençant par celles du Sud, car ne l’oublions pas, depuis, la récupération de ces provinces, l’Etat n’ a eu d’autre souci que le développement de celles-ci.
Tout le monde a le regard rivé sur le Sommet africain de Nouakchott. Qu’en attendez-vous ?
Concernant la question de nos provinces sahariennes, je dis que depuis la récupération par le Maroc de celles-ci, il s’est fixé comme objectif premier leur développement sur tous les plans. Pour ce qui est de la CNDH, c’est une structure globale qui couvre tout le Royaume de Tanger à Lagouira. La stratégie adoptée dans ce domaine est partout identique et ne fait aucune différence entre le Nord, l’Est, l’Ouest ou le Sud du pays. En ce qui nous concerne, depuis que Sa Majesté le Roi a donné la priorité, en novembre 2015, à la mise sur pied d’un plan développement global de développement de ces régions vu leur potentiel économique et humain, nous n’avons aucune crainte à ce propos surtout que nous disposons d’atouts juridiques et naturels qui font que notre pays soit fier de prouver qu’il n’a ménagé aucun effort pour le développement de toutes ses régions dont les régions sahariennes.
Quand croyez-vous que la régionalisation sera opérationnalisée ?
Il y a eu effectivement un certain retard dans la mise à jour des décrets relatifs au transfert de prérogatives. Mais maintenant que ces décrets ont vu le jour, nous sommes en négociation pour l’activation du transfert des prérogatives. A l’issue de discussions entre la direction des collectivités locales et les présidents des régions, tout le monde est convaincu que les différents départements doivent transférer leurs prérogatives aux conseils régionaux comme le prévoient les textes de loi.
président du Groupe socialiste à la Chambre des conseillers. Entretien.
Libé : Que pouvez-vous nous dire à propos du symposium de Dakhla ?
Mohamed Alami : Nous, en tant que membres de la Chambre des conseillers dont la plupart des composantes sont issues des collectivités locales, nous avons voulu nous rendre sur le terrain et ouvrir un dialogue avec les conseils régionaux, avec les populations et les élus de communes locales pour convaincre le gouvernement de la nécessité d’accélérer les procédures de transfert des prérogatives afin de rendre effective l’initiative de développement des nos différentes provinces en commençant par celles du Sud, car ne l’oublions pas, depuis, la récupération de ces provinces, l’Etat n’ a eu d’autre souci que le développement de celles-ci.
Tout le monde a le regard rivé sur le Sommet africain de Nouakchott. Qu’en attendez-vous ?
Concernant la question de nos provinces sahariennes, je dis que depuis la récupération par le Maroc de celles-ci, il s’est fixé comme objectif premier leur développement sur tous les plans. Pour ce qui est de la CNDH, c’est une structure globale qui couvre tout le Royaume de Tanger à Lagouira. La stratégie adoptée dans ce domaine est partout identique et ne fait aucune différence entre le Nord, l’Est, l’Ouest ou le Sud du pays. En ce qui nous concerne, depuis que Sa Majesté le Roi a donné la priorité, en novembre 2015, à la mise sur pied d’un plan développement global de développement de ces régions vu leur potentiel économique et humain, nous n’avons aucune crainte à ce propos surtout que nous disposons d’atouts juridiques et naturels qui font que notre pays soit fier de prouver qu’il n’a ménagé aucun effort pour le développement de toutes ses régions dont les régions sahariennes.
Quand croyez-vous que la régionalisation sera opérationnalisée ?
Il y a eu effectivement un certain retard dans la mise à jour des décrets relatifs au transfert de prérogatives. Mais maintenant que ces décrets ont vu le jour, nous sommes en négociation pour l’activation du transfert des prérogatives. A l’issue de discussions entre la direction des collectivités locales et les présidents des régions, tout le monde est convaincu que les différents départements doivent transférer leurs prérogatives aux conseils régionaux comme le prévoient les textes de loi.









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