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Dans une lettre adressée à Ban Ki-moon, Mohamed Hamou exhorte le SG des Nations-Unies “à intervenir auprès de l’Algérie et du polisario pour libérer ces personnes arrêtées, en décembre dernier, pour avoir simplement osé exprimer publiquement leur opposition aux plans des dirigeants du polisario”.
“La conscience humaine et morale nous commande de nous adresser à vous pour que vous interveniez et que vous fassiez en sorte que des vies humaines en péril, ignorées et condamnées à une mort lente par le polisario, soient sauvées”, écrit ce citoyen établi à Laâyoune.
Selon la même source, les trois personnes toujours détenues au secret par le polisario sont : Balouh Ahmed Hamou et Ahmed Salem Chibani Hamou (de la tribu de Ouled-Dlim) et Mohamed Salek Ouled Gueya (de la tribu Smasid).
Revenant sur les circonstances arbitraires de ces arrestations, Mohamed Hamou note qu’”au mois de décembre dernier, les milices du polisario ont procédé à l’arrestation de plusieurs personnes qui étaient à bord d’une voiture Hilux 4x4, et qu’ils ont transférées dans une prison située près de l’école dite du 9 juin “.
Certains de ces individus, poursuit-il, ont été relâchés pour des considérations purement tribales, après l’intervention d’Aminaou Haidar auprès du chef du polisario, “vu qu’ils sont originaires de la même tribu qu’elle”.
Pour les autres, “malgré les demandes multiples des familles des personnes arrêtées, le dénommé Mohamed Lamine Bouhali, soi-disant ministre de la défense du polisario a refusé de communiquer la moindre information pour élucider leur sort, y compris le cas de mon frère Ahmed Mohamed Balouh”, précise la lettre adressée au SG des Nations-Unies.