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Mise en exergue de la splendeur de l’écriture des Sultans du Maroc et ses fonctions civilisationnelles
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Taza à l’heure du Festival international “L’Hayti : Mémoire et Arts Vivants”
Dans ce roman qui faisait également partie de la liste des 15 œuvres sélectionnées pour le Prix Goncourt 2014, mais qui a finalement été écarté de la liste finale, Fouad Laroui raconte l’histoire d’un ingénieur marocain qui, du jour au lendemain, décide de rompre avec son mode de vie occidentalisé. Une tentative de retour aux sources semée d'embûches et à l'issue plus qu'incertaine... Dans son style inimitable, Laroui entraîne le lecteur à la suite de son héros dans une aventure échevelée et picaresque où se dessine en arrière-plan une des grandes interrogations de notre temps : qui saura détruire le mur que des forces obscures sont en train d'ériger entre l'Orient et l'Occident?
Conte satirique, dissertation sur la vanité du monde, enquête sur le malaise identitaire qui étreint des élites maghrébines européanisées mais en quête de leurs racines… Dans «Les Tribulations du dernier Sijilmassi», l’écrivain marocain jongle donc sur ces différents registres et signe un roman aux allures de conte philosophique. Natif d’Oujda, auteur francophone, poète néerlandophone, Fouad Laouri enseigne également la littérature, l'économétrie et les sciences de l'environnement à l’Université d’Amsterdam. En 2014, il a reçu la Grande Médaille de la Francophonie de l'Académie française.










Mise en exergue de la splendeur de l’écriture des Sultans du Maroc et ses fonctions civilisationnelles

