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Ayant épuisé toutes les cartes dans leur bataille diplomatique contre le Maroc à l’ONU, à l’Union européenne ou à l’Union africaine, le Polisario et l’Etat algérien dont les caisses et les réserves de change ont été asséchées par la chute des prix du pétrole, n’ont aujourd’hui plus rien à offrir aux populations des camps de Tindouf pour apaiser leur colère, mise à part la propagande véhiculéepar les médias à la soldedu pouvoir algérien ou la violence et la torture dans lesquelles les miliciens entretenus par Ghali et sa bandeexcellent.
Le Polisario se sent également délaissé par ses rares soutiens sur le continent africain. Notamment l’Afrique du Sud et le Nigeria qui pataugent dans leurs propres problèmesque la pandémie du coronavirus a accentués.
De l’avis de plusieurs experts et observateurs, le Front Polisario est, en effet,au crépuscule de sa prétentieuseet aventureuseexistence.