-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP
Le scrutin du 7 octobre, qui a donné le Parti de la justice et du développement (PJD) vainqueur avec 125 sièges, vient ainsi consacrer l’ancrage démocratique du Maroc, qui s’est inscrit, sous l’impulsion du Souverain, dans une dynamique de réformes d’envergure, se démarquant ainsi de la logique de confrontation et d’instabilité marquant un contexte régional et international tourmenté.
Abstraction faite des résultats de chaque formation politique, ce scrutin a consacré, de l’avis de l’ensemble des observateurs, le respect de la méthodologie démocratique et des dispositions de la Constitution de 2011 avec la nomination du nouveau chef du gouvernement au sein du parti arrivé en tête des élections.
Ainsi, après les résultats définitifs des élections, S.M le Roi Mohammed VI a chargé Abdelilah Benkirane, secrétaire général du PJD, de former le nouveau gouvernement.