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Le diptyque “justice sociale et lutte contre les inégalités territoriale s'est loin d’être un slogan creux, ou une priorité conjoncturelle dont l’importance pourrait décliner au gré des circonstances
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SAR la Princesse Lalla Hasnaa prend part à Abou Dhabi à une réception offerte en l'honneur des hautes personnalités participant au Congrès mondial de la nature de l'UICN
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L'ambassadeur de l'Irak au Maroc exprime l'estime de son pays pour le rôle pionnier de SM le Roi dans le soutien à la cause palestinienne
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Le Royaume du Maroc salue l’annonce par le président américain d’un accord sur le cessez-le-feu à Gaza
Le scrutin du 7 octobre, qui a donné le Parti de la justice et du développement (PJD) vainqueur avec 125 sièges, vient ainsi consacrer l’ancrage démocratique du Maroc, qui s’est inscrit, sous l’impulsion du Souverain, dans une dynamique de réformes d’envergure, se démarquant ainsi de la logique de confrontation et d’instabilité marquant un contexte régional et international tourmenté.
Abstraction faite des résultats de chaque formation politique, ce scrutin a consacré, de l’avis de l’ensemble des observateurs, le respect de la méthodologie démocratique et des dispositions de la Constitution de 2011 avec la nomination du nouveau chef du gouvernement au sein du parti arrivé en tête des élections.
Ainsi, après les résultats définitifs des élections, S.M le Roi Mohammed VI a chargé Abdelilah Benkirane, secrétaire général du PJD, de former le nouveau gouvernement.