-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP

Cette Coordination est composée de trois syndicats, en l’occurrence le Syndicat national des postes et des télécommunications (Fédération démocratique du travail), le Syndicat national des postes (Confédération démocratique du travail) et la Fédération nationale des postes et de la logistique (Union marocaine du travail).
Ces trois syndicats ont tenu, à la fin de la semaine dernière, une réunion pour discuter de la question des diplômés non intégrés et du suivi du dossier de régularisation de la situation de la première promotion de recrutés, et notamment l’approche de l’administration de Barid Al-Maghrib pour gérer ce dossier en marginalisant le Comité de suivi créé en février 2013 et composé de 3 représentants de chaque syndicat.
La Coordination a déploré, dans un communiqué de presse publié à l’issue de cette réunion, les manœuvres de l’administration qui «veut vider les accords conclus le 19 février 2012 et le 18 octobre 2012 de toute substance », notamment en ce qui concerne la fixation du quota annuel, car il était prévu que le quota de 2013 soit fixé avant d’entamer l’étape de la mise en valeur des compétences, mais rien n’a été fait. « Nous ne sommes concernés que par l’application des dispositions de ces deux accords et surtout l’article premier relatif au règlement définitif du dossier au plus tard fin de 2016 ; ce qui nécessite la fixation d’un quota annuel d’au moins 400 personnes chaque année », explique la même source. Et d’ajouter que l’administration « tergiverse pour gagner du temps et semer le désespoir chez les diplômés ».