Autres articles
-
Des experts américains veulent supprimer des vaccins un composant critiqué par les antivax
-
A Nairobi, des femmes DJ veulent occuper le devant de la scène
-
Japon : Un ours force à l'annulation de vols
-
Des orques fabriquent des "outils" pour se masser mutuellement
-
En France, pays du fromage, un éleveur parie sur le lait de chamelle
Une étude menée par la NOAA (National oceanic and atmospheric administration), montre pour la première fois que les émissions venues d'Asie sont responsables de l'augmentation sur la partie ouest des États-Unis, de l'ozone troposphérique, un polluant nocif pour l'environnement et la santé humaine.
L'Asie est un important producteur d'émissions engendrant l'ozone. Transportées vers l'est à travers le Pacifique au gré de conditions météorologiques qui favorisent particulièrement leur migration au printemps, ses émissions polluantes ont atteint une grande partie de l'ouest des États-Unis, y entraînant une importante augmentation de l'ozone présent au niveau du sol : l'ozone troposhérique. Ce polluant est en majeure partie produit par l'activité humaine, une petite quantité l'étant naturellement au-dessus des zones forestières.
L'étude de la NOAA montre que l'ozone troposphérique sur la partie ouest des États-Unis a augmenté continuellement au cours des trois dernières décennies, de 30% par rapport à des mesures de 1984. Elle prouve également que les plus fortes augmentations observées au cours des quinze dernières années sont associées aux masses d'air influencées par les émissions sur la Chine, l'Inde et les pays de l'Asie du Sud-Est.
Cette augmentation de concentration d'ozone est inquiétante pour le niveau de qualité de l'air. Si la hausse devait se poursuivre, il pourrait devenir impossible pour certaines régions des États-Unis de respecter les taux exigés par la législation, avertit l'étude.
L'Asie est un important producteur d'émissions engendrant l'ozone. Transportées vers l'est à travers le Pacifique au gré de conditions météorologiques qui favorisent particulièrement leur migration au printemps, ses émissions polluantes ont atteint une grande partie de l'ouest des États-Unis, y entraînant une importante augmentation de l'ozone présent au niveau du sol : l'ozone troposhérique. Ce polluant est en majeure partie produit par l'activité humaine, une petite quantité l'étant naturellement au-dessus des zones forestières.
L'étude de la NOAA montre que l'ozone troposphérique sur la partie ouest des États-Unis a augmenté continuellement au cours des trois dernières décennies, de 30% par rapport à des mesures de 1984. Elle prouve également que les plus fortes augmentations observées au cours des quinze dernières années sont associées aux masses d'air influencées par les émissions sur la Chine, l'Inde et les pays de l'Asie du Sud-Est.
Cette augmentation de concentration d'ozone est inquiétante pour le niveau de qualité de l'air. Si la hausse devait se poursuivre, il pourrait devenir impossible pour certaines régions des États-Unis de respecter les taux exigés par la législation, avertit l'étude.