Autres articles
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté
-
La Chine annonce que sa capacité en énergie éolienne et solaire dépasse pour la première fois le thermique
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
Une étude menée par la NOAA (National oceanic and atmospheric administration), montre pour la première fois que les émissions venues d'Asie sont responsables de l'augmentation sur la partie ouest des États-Unis, de l'ozone troposphérique, un polluant nocif pour l'environnement et la santé humaine.
L'Asie est un important producteur d'émissions engendrant l'ozone. Transportées vers l'est à travers le Pacifique au gré de conditions météorologiques qui favorisent particulièrement leur migration au printemps, ses émissions polluantes ont atteint une grande partie de l'ouest des États-Unis, y entraînant une importante augmentation de l'ozone présent au niveau du sol : l'ozone troposhérique. Ce polluant est en majeure partie produit par l'activité humaine, une petite quantité l'étant naturellement au-dessus des zones forestières.
L'étude de la NOAA montre que l'ozone troposphérique sur la partie ouest des États-Unis a augmenté continuellement au cours des trois dernières décennies, de 30% par rapport à des mesures de 1984. Elle prouve également que les plus fortes augmentations observées au cours des quinze dernières années sont associées aux masses d'air influencées par les émissions sur la Chine, l'Inde et les pays de l'Asie du Sud-Est.
Cette augmentation de concentration d'ozone est inquiétante pour le niveau de qualité de l'air. Si la hausse devait se poursuivre, il pourrait devenir impossible pour certaines régions des États-Unis de respecter les taux exigés par la législation, avertit l'étude.
L'Asie est un important producteur d'émissions engendrant l'ozone. Transportées vers l'est à travers le Pacifique au gré de conditions météorologiques qui favorisent particulièrement leur migration au printemps, ses émissions polluantes ont atteint une grande partie de l'ouest des États-Unis, y entraînant une importante augmentation de l'ozone présent au niveau du sol : l'ozone troposhérique. Ce polluant est en majeure partie produit par l'activité humaine, une petite quantité l'étant naturellement au-dessus des zones forestières.
L'étude de la NOAA montre que l'ozone troposphérique sur la partie ouest des États-Unis a augmenté continuellement au cours des trois dernières décennies, de 30% par rapport à des mesures de 1984. Elle prouve également que les plus fortes augmentations observées au cours des quinze dernières années sont associées aux masses d'air influencées par les émissions sur la Chine, l'Inde et les pays de l'Asie du Sud-Est.
Cette augmentation de concentration d'ozone est inquiétante pour le niveau de qualité de l'air. Si la hausse devait se poursuivre, il pourrait devenir impossible pour certaines régions des États-Unis de respecter les taux exigés par la législation, avertit l'étude.