Autres articles
-
La pratique du sport à l'enfance réduit les comportements défiants
-
Quelle est la durée de vie d'une puce IA, la question à plusieurs centaines de milliards
-
Entre 121 et 142 millions de personnes travaillent dans l'économie circulaire à l’échelle mondiale
-
Une influente étude sur le glyphosate retirée après des années d'alertes sur l'implication de Monsanto
-
A trois ans, un Indien devient le plus jeune joueur d'échecs classé
D'après une enquête publiée sur lepoint.fr, la population américaine verrait les maladies cardio-vasculaires faire un bon en arrière sur son territoire si elle diminuait sa consommation de sel de seulement 3 grammes.
Contrairement au Japon, au Royaume-Uni, à la Finlande et au Portugal, où la quantité de sel dans les aliments mis sur le marché est régulée, les États-Unis, eux, ne rechignent pas sur ce composant. Il est pourtant dangereux pour la santé lorsqu’il est consommé en excès. 70 à 80% de la consommation de sel des Américains provient des plats préparés dans lesquels il n'est pas nécessaire d'en ajouter. Il n'y a pas de régulation en vigueur. Les citoyens ne sont donc pas informés de la quantité de sel qu'ajoutent les industries. Aucune prévention n'est mise en place pour les informer des dangers d'une trop forte consommation. Enfin, l'emballage des produits est démuni d'informations, il est donc impossible de connaître les quantités des composants présents dans le produit.
Selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine, si les Américains diminuaient leur consommation quotidienne de sel de 3g, le nombre de nouveaux cas de maladies coronariennes, d'accidents vasculaires cérébraux et de décès causés par les maladies cardiovasculaires serait divisé par deux. De même, les nouveaux cas d'infarctus du myocarde passeraient de 99.000 à 54.000 grâce à cette méthode de diminution, efficace et peu coûteuse.C'est un fait prouvé : une consommation modérée de sel réduit le risque de faire un accident cardiovasculaire et diminue la tension artérielle. Les autorités américaines souhaiteraient baisser cette consommation qui est actuellement de 10,4 grammes par jour chez les hommes et de 7,3 grammes chez les femmes. Objectif : 5,8 grammes voire 3,7 grammes par jour pour les plus de 40 ans, la population noire et les personnes souffrant d'hypertension artérielle.
Contrairement au Japon, au Royaume-Uni, à la Finlande et au Portugal, où la quantité de sel dans les aliments mis sur le marché est régulée, les États-Unis, eux, ne rechignent pas sur ce composant. Il est pourtant dangereux pour la santé lorsqu’il est consommé en excès. 70 à 80% de la consommation de sel des Américains provient des plats préparés dans lesquels il n'est pas nécessaire d'en ajouter. Il n'y a pas de régulation en vigueur. Les citoyens ne sont donc pas informés de la quantité de sel qu'ajoutent les industries. Aucune prévention n'est mise en place pour les informer des dangers d'une trop forte consommation. Enfin, l'emballage des produits est démuni d'informations, il est donc impossible de connaître les quantités des composants présents dans le produit.
Selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine, si les Américains diminuaient leur consommation quotidienne de sel de 3g, le nombre de nouveaux cas de maladies coronariennes, d'accidents vasculaires cérébraux et de décès causés par les maladies cardiovasculaires serait divisé par deux. De même, les nouveaux cas d'infarctus du myocarde passeraient de 99.000 à 54.000 grâce à cette méthode de diminution, efficace et peu coûteuse.C'est un fait prouvé : une consommation modérée de sel réduit le risque de faire un accident cardiovasculaire et diminue la tension artérielle. Les autorités américaines souhaiteraient baisser cette consommation qui est actuellement de 10,4 grammes par jour chez les hommes et de 7,3 grammes chez les femmes. Objectif : 5,8 grammes voire 3,7 grammes par jour pour les plus de 40 ans, la population noire et les personnes souffrant d'hypertension artérielle.









La pratique du sport à l'enfance réduit les comportements défiants
