Des peines de prison pour empêcher les fraudes électorales
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Les conditions d’éligibilité ont également changé. C’est le cas de l’âge de la majorité fixé à 18 ans au lieu de 23 ans pour se conformer à la nouvelle Constitution.
Les fraudes électorales seront, par ailleurs, sanctionnées d’un à cinq ans de prison ferme et d’une amende allant de 10.000 à 100.000 DH.
Cela dit, ledit projet est loin de faire l’unanimité. Plusieurs responsables politiques estiment, en effet, qu’il comporte quelques lacunes et qu’il pourrait faire l’objet d’une lutte d’autant plus acharnée que certaines parties nostalgiques de quelques viles pratiques du passé tenteront tout pour contrecarrer le processus de réformes en cours.