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Le pétard mouillé d’Alger Par Mohamed Benarbia
Vendredi 11 Juillet 2014
«De la pure provocation et une tentative vaine de torpiller la coopération maroco-africaine» C’est ainsi que qualifie, à juste titre, le Bureau politique de l’USFP les manigances commandées et commanditées depuis Alger cherchant à placer Joaquin Chissano comme envoyé spécial de l’Union africaine (UA) pour le Sahara. Le dossier du Sahara est bien entre les mains de l’ONU qui vient d’ailleurs de proroger le mandat de la Minurso. Le Maroc bien qu’étant incontestablement sur ses terres, dans ce Sahara qui est sien de par les liens historiques, géographiques et forcément logiques, n’a de cesse de faire preuve de bonne foi, sa proposition d’autonomie, saluée de par le monde, en est la parfaite illustration. Mais que faire quand on a à se farcir l’obstination de dirigeants algériens désespérément obstructionnistes et pathologiquement obsédés par le désir (maladif) de nuire à ce voisin de l’Ouest qui dérange ? Cette percée Royale en Afrique, ces visites à succès dans plus d’un pays du continent, tous ces accords conclu, ces conventions passées, cette approche d’une coopération Sud-Sud inédite, c’en était trop pour des voisins qui doivent s’en vouloir de ne pas en avoir eu l’idée, oubliant au passage que c’est plutôt l’envie qui leur fait défaut à moins qu’ils n’en aient tout simplement pas l’étoffe. L’Algérie doit sans doute aucun avoir bien d’autres chats à fouetter. Mais pour le malheur de ce peuple frère, si de nombreux pays, et non seulement en Afrique, lui envieraient la richesse de son sol, il en va tout autrement pour l’usage qui en est fait. C’est tout à l’image de cette UA que vient de manipuler Alger via ce Conseil dit de paix et de sécurité que préside justement l’Algérien Chergui pour tenter de trouver une occupation des plus inappropriées à un certain Chissano trop érodé, à l’évidence, par un chômage de trop longue durée. L’Afrique, malheureusement, se trouve minée par des crises de tous genres, entre famine, terrorisme, guerres ethniques ou civiles …et autres risques de fractionnement et de sécession. Mais à ce qui paraît, cela n’intéresse pas ladite UA, ni son fameux Conseil de paix et de sécurité. Il faut bien que les ordres viennent d’Alger. Maintenant que le Chissano en question vient d’essuyer une fin de non-recevoir aussi bien à Pékin qu’à Moscou, il ne resterait plus à ses placeurs qu’à lui proposer quelque activité du côté, entre autres, de Ghardaï, au M’zab, ou auprès de tous les membres de « Barakat » qui ont eu à goûter à leurs dépens aux délices de la démocratie et droits de l’Homme, version Alger.
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