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Les habitants des camps sont mécontents du fait de la situation qu’ils vivent à cause de la pandémie du coronavirus, sans aucun moyen d’obtenir des vaccins, de la famine du fait du détournement par les chefs des aides alimentaires internationales et de l’interdiction de sortie imposée par les militaires algériens. Ce sont là, pensent les séquestrés des camps de Tindouf, des raisons qui justifient leur colère.
La participation massive aux élections de leurs frères dans les provinces du Sud qui ont élu, en toute liberté, leurs représentants, a exacerbé cette colère qu’ils ont vite fait d’exprimer à travers des marches et des railleries à l’endroit des chefs.
Ahmadou El-Katab