Le tournage a été annoncé il y a déjà quelques mois. Après l’Egypte et le Liban, le film égyptien “Casablanca” a posé ses caméras dans la métropole. Le réalisateur Égyptien Peter Mimi a partagé sur Instagram une photo de l’équipe du film prenant la pose devant le Boulevard Zerktouni où sera filmé le gros des séquences de cette production cinématographique.
Une constellation de stars du 7ème art égyptien sont à l'affiche de "Casablanca", notamment Amir Karara, Ghada Adel, Amr Abdel Galil, Dalal Abdel Aziz et Mahmoud El Bazzawy. Le film, qui sortira dans les salles cette année, mettra également en vedette le Marocain Mohamed Miftah, qui en est à sa première apparition dans le cinéma égyptien, aux côtés du Turc Halit Ergenç devenu une star dans le monde arabe après avoir prêté ses traits au sultan Soliman le Magnifique dans la célèbre série “Le Siècle magnifique”, plus connue au Maroc sous le titre de “Harem Al Sultan”.
Mohamed Miftah avait déjà campé des rôles dans des séries télévisées égyptiennes, notamment "Bab Al Khaleq" (2012) avec feu Mahmoud Abdelaziz et "Maâmoun wa chorakaouh" (2016) avec le légendaire Adel Imam.
Le turc Halit Ergenç sera par ailleurs le grand absent de ce tournage au Maroc. S’il était en Egypte en décembre pour le tournage de ses scènes, il ne devrait cependant pas se rendre au Maroc. Son rôle n’a en effet nécessité que quelques jours de tournage, selon la presse turque, rapportée par nos confrères du Huffpost. Des journées de travail très lucratives puisque, selon CNN Turk, l’acteur aurait été rémunéré pas moins d’un million de lires turques pour être présent 10 minutes dans le film, soit plus d’1,7 million de dirhams.
Rappelons, par ailleurs, que fort de ses indéniables atouts de stabilité et d'emplacement stratégique, le Maroc s'est imposé au cours des dernières années en tant que destination privilégiée pour le tournage de nombreux "blockbusters" étrangers, avec un impact positif sur l'industrie cinématographique nationale. Le Royaume offre en effet des avantages attrayants pour les producteurs de films, dont des paysages pittoresques, la stabilité et un environnement favorable à la production de films.
Parmi les opus tournés ces dernières années au Maroc, on peut citer les deux longs métrages à succès au box-office mondial "Spectre" au gros budget de production de 245 millions de dollars, qui a engrangé près de 800 millions de dollars de recettes, ainsi que "Mission Impossible - Rogue Nation" (700 millions de dollars). Le tournage d'importantes productions étrangères au Royaume, ainsi que la renommée internationale du Festival international du film de Marrakech, ont favorisé une évolution remarquable du septième art marocain, lequel s'impose désormais comme l'une des industries cinématographiques les plus dynamiques dans le monde arabe.
Cette dynamique a pu être impulsée grâce à un soutien de plus en plus important sur la voie d'une émergence aboutie, et ce depuis l'accession au Trône de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Fruit de cette tendance positive, les productions marocaines représentent aujourd'hui environ la moitié du Top 10 au box-office local.
Une constellation de stars du 7ème art égyptien sont à l'affiche de "Casablanca", notamment Amir Karara, Ghada Adel, Amr Abdel Galil, Dalal Abdel Aziz et Mahmoud El Bazzawy. Le film, qui sortira dans les salles cette année, mettra également en vedette le Marocain Mohamed Miftah, qui en est à sa première apparition dans le cinéma égyptien, aux côtés du Turc Halit Ergenç devenu une star dans le monde arabe après avoir prêté ses traits au sultan Soliman le Magnifique dans la célèbre série “Le Siècle magnifique”, plus connue au Maroc sous le titre de “Harem Al Sultan”.
Mohamed Miftah avait déjà campé des rôles dans des séries télévisées égyptiennes, notamment "Bab Al Khaleq" (2012) avec feu Mahmoud Abdelaziz et "Maâmoun wa chorakaouh" (2016) avec le légendaire Adel Imam.
Le turc Halit Ergenç sera par ailleurs le grand absent de ce tournage au Maroc. S’il était en Egypte en décembre pour le tournage de ses scènes, il ne devrait cependant pas se rendre au Maroc. Son rôle n’a en effet nécessité que quelques jours de tournage, selon la presse turque, rapportée par nos confrères du Huffpost. Des journées de travail très lucratives puisque, selon CNN Turk, l’acteur aurait été rémunéré pas moins d’un million de lires turques pour être présent 10 minutes dans le film, soit plus d’1,7 million de dirhams.
Rappelons, par ailleurs, que fort de ses indéniables atouts de stabilité et d'emplacement stratégique, le Maroc s'est imposé au cours des dernières années en tant que destination privilégiée pour le tournage de nombreux "blockbusters" étrangers, avec un impact positif sur l'industrie cinématographique nationale. Le Royaume offre en effet des avantages attrayants pour les producteurs de films, dont des paysages pittoresques, la stabilité et un environnement favorable à la production de films.
Parmi les opus tournés ces dernières années au Maroc, on peut citer les deux longs métrages à succès au box-office mondial "Spectre" au gros budget de production de 245 millions de dollars, qui a engrangé près de 800 millions de dollars de recettes, ainsi que "Mission Impossible - Rogue Nation" (700 millions de dollars). Le tournage d'importantes productions étrangères au Royaume, ainsi que la renommée internationale du Festival international du film de Marrakech, ont favorisé une évolution remarquable du septième art marocain, lequel s'impose désormais comme l'une des industries cinématographiques les plus dynamiques dans le monde arabe.
Cette dynamique a pu être impulsée grâce à un soutien de plus en plus important sur la voie d'une émergence aboutie, et ce depuis l'accession au Trône de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Fruit de cette tendance positive, les productions marocaines représentent aujourd'hui environ la moitié du Top 10 au box-office local.