Le long métrage "Mon père n'est pas mort" de son réalisateur Adil El Fadili a remporté le Grand prix ’’la Perle Bleue’’ de la 10ème édition du Festival "Cinéma sans frontières" de Saïdia.
Ce film raconte l’histoire de Malik, un jeune garçon vivant avec son père Mehdi dans une fête foraine. Leur quotidien est bouleversé lorsque Mehdi offre à son fils cinq toiles mystérieuses et fascinantes. Mais leur vie bascule tragiquement à la disparition soudaine et inexpliquée du père. Face à cela, Malik se lance dans une quête effrénée pour retrouver son papa, aidé par la communauté des forains.
Le jury du festival, organisé du 04 au 07 septembre, a décerné le prix de la meilleure interprétation féminine ex æquo à Fatima Ezzahra Baladi pour son rôle dans le long métrage ’’Que d’amour’’ du réalisateur marocain Kamal Kamal, et à Amal Mennai dans le film "Asfour Jenna" de Mourad Ben Cheikh (Tunisie).
Quant au prix de la meilleure interprétation masculine, il a été remis ex æquo au défunt Aziz El Fadili dans le film "Mon père n’est pas mort" et Ahmed Meddah dans "Que d’amour", tandis que le film "Un cadavre sur la rive de Marchica" d’Aksel Fauzi s’est adjugé le prix du meilleur scénario.
Le prix de la meilleure réalisation est revenu au film "Mon père n’est pas mort", alors que le prix du jury a été remporté par "Que d’amour".
Dans la catégorie des courts métrages, le ’’Prix de l’Orange’’ est allé à "Rachid" de sa réalisatrice Rachida El Garani, tandis que ’’Khalid et Nema" du réalisateur palestinien Sohail Dahdal a obtenu le prix du meilleur scénario, et "le sentier d’Aïcha" de la Tunisienne Salma Hobbi a reçu le prix de la meilleure réalisation.
Au total, 18 films (6 longs métrages et 12 courts métrages) représentant le Maroc, la Tunisie, la France, la Belgique, l'Egypte, la Jordanie, la Palestine, l'Irak, la Syrie et le Liban, étaient en lice pour s’adjuger l’un des prix du festival de Saïdia, organisé par l’Association Al Amal pour la cohabitation et le développement.
Le jury de cette édition était présidé par le réalisateur et producteur Ali Safi, aux côtés des réalisateurs Mohammed Lyounsi et Mohamed Bouzaggou, de l'actrice Fatima Atif et de la journaliste Nadia Abram.
Lors de cette édition, le festival a rendu hommage au réalisateur Kamal Kamal et à l'actrice Fatima Atif, en reconnaissance de leur grand apport au cinéma durant de nombreuses années.
Au programme du festival figuraient également des conférences, des rencontres et des tables rondes axées sur de nombreuses thématiques, à savoir "Le cinéma marocain en amazigh, quelles futures perspectives", "L'industrie cinématographie au Maroc: L'Oriental comme modèle", et "La femme dans le cinéma marocain".
Cet événement vise à contribuer à la dynamisation du secteur artistique et culturel de Saïdia, à renforcer l’attractivité touristique de cette cité et à offrir au public l'opportunité de découvrir les nouveautés du 7ème art.
Cette édition était organisée avec le soutien notamment du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, du Centre cinématographique marocain (CCM), de la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l'étranger, de la préfecture de Berkane et du Conseil régional du tourisme.
Ce film raconte l’histoire de Malik, un jeune garçon vivant avec son père Mehdi dans une fête foraine. Leur quotidien est bouleversé lorsque Mehdi offre à son fils cinq toiles mystérieuses et fascinantes. Mais leur vie bascule tragiquement à la disparition soudaine et inexpliquée du père. Face à cela, Malik se lance dans une quête effrénée pour retrouver son papa, aidé par la communauté des forains.
Le jury du festival, organisé du 04 au 07 septembre, a décerné le prix de la meilleure interprétation féminine ex æquo à Fatima Ezzahra Baladi pour son rôle dans le long métrage ’’Que d’amour’’ du réalisateur marocain Kamal Kamal, et à Amal Mennai dans le film "Asfour Jenna" de Mourad Ben Cheikh (Tunisie).
Quant au prix de la meilleure interprétation masculine, il a été remis ex æquo au défunt Aziz El Fadili dans le film "Mon père n’est pas mort" et Ahmed Meddah dans "Que d’amour", tandis que le film "Un cadavre sur la rive de Marchica" d’Aksel Fauzi s’est adjugé le prix du meilleur scénario.
Le prix de la meilleure réalisation est revenu au film "Mon père n’est pas mort", alors que le prix du jury a été remporté par "Que d’amour".
Dans la catégorie des courts métrages, le ’’Prix de l’Orange’’ est allé à "Rachid" de sa réalisatrice Rachida El Garani, tandis que ’’Khalid et Nema" du réalisateur palestinien Sohail Dahdal a obtenu le prix du meilleur scénario, et "le sentier d’Aïcha" de la Tunisienne Salma Hobbi a reçu le prix de la meilleure réalisation.
Au total, 18 films (6 longs métrages et 12 courts métrages) représentant le Maroc, la Tunisie, la France, la Belgique, l'Egypte, la Jordanie, la Palestine, l'Irak, la Syrie et le Liban, étaient en lice pour s’adjuger l’un des prix du festival de Saïdia, organisé par l’Association Al Amal pour la cohabitation et le développement.
Le jury de cette édition était présidé par le réalisateur et producteur Ali Safi, aux côtés des réalisateurs Mohammed Lyounsi et Mohamed Bouzaggou, de l'actrice Fatima Atif et de la journaliste Nadia Abram.
Lors de cette édition, le festival a rendu hommage au réalisateur Kamal Kamal et à l'actrice Fatima Atif, en reconnaissance de leur grand apport au cinéma durant de nombreuses années.
Au programme du festival figuraient également des conférences, des rencontres et des tables rondes axées sur de nombreuses thématiques, à savoir "Le cinéma marocain en amazigh, quelles futures perspectives", "L'industrie cinématographie au Maroc: L'Oriental comme modèle", et "La femme dans le cinéma marocain".
Cet événement vise à contribuer à la dynamisation du secteur artistique et culturel de Saïdia, à renforcer l’attractivité touristique de cette cité et à offrir au public l'opportunité de découvrir les nouveautés du 7ème art.
Cette édition était organisée avec le soutien notamment du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, du Centre cinématographique marocain (CCM), de la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l'étranger, de la préfecture de Berkane et du Conseil régional du tourisme.