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Des membres des forces spéciales, en armes et soutenus par des blindés, étaient sur le qui-vive dimanche matin devant ces quatre chancelleries ainsi que celles des autres pays occidentaux, qui n’ont pas précisé si elles entendaient rouvrir après le week-end de vendredi et samedi. «Nous sommes déjà en état d’alerte mais nous avons redoublé de vigilance», a déclaré un policier.
Aux barrages de sécurité mis en place depuis le début de la semaine par les forces de sécurité et l’armée sur les principaux axes routiers de Sanaa, les forces de l’ordre procèdent à des contrôles réguliers, en particulier pour les accès menant aux chancelleries occidentales, selon des habitants.
Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne ont décidé de fermer leurs ambassades à Sanaa dimanche, après l’annonce jeudi par Washington de son intention de fermer 22 consulats et ambassades et de lancer une alerte sur un risque élevé d’attentats d’Al-Qaïda en août.
Le département d’Etat a diffusé un avis de prudence à l’attention de tous ses ressortissants dans le monde : des attentats sont possibles «particulièrement au Moyen-Orient et en Afrique du Nord», et Washington a insisté également sur «la Péninsule arabique».
Peu après les Etats-Unis, Interpol a lancé samedi une alerte globale de sécurité invitant tous les pays membres de l’organisation de coopération policière à la plus grande vigilance face à la menace d’Al-Qaïda.
Al-Qaïda dans la Péninsule arabique (Aqpa), basé au Yémen et très actif, est considéré par les Etats-Unis comme la branche la plus dangereuse du réseau extrémiste dans le monde.







