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Le nombre de réfugiés fuyant leur pays a augmenté "de façon dramatique" depuis le début de l'année, note le HCR parlant d'un chiffre de 400.000.
Les réfugiés ont fui en majorité vers les pays voisins: le Liban, la Jordanie, la Turquie et l'Irak. De plus en plus se fuient également vers l'Afrique du Nord et l'Europe.
A ces millions de personnes ayant fui les combats, s'ajoutent plus de 70.000 morts, selon l'ONU, dans cette révolte contre le régime du président Bachar Al-Assad qui s'est transformée au fil des mois en guerre civile.
La communauté internationale, profondément divisée, est toujours impuissante à arrêter le bain de sang.
Sur le terrain, les combats et les bombardements ne connaissaient mercredi aucun répit.
"Des hélicoptères de l'armée ont bombardé des enclaves rebelles dans la Vieille ville de Homs, notamment à Khaldiyé", au quatrième jour d'un assaut de l'armée et de milices pro-régime pour conquérir des zones insurgées dans cette ville du centre de la Syrie, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Même si le régime de Bachar Al-Assad contrôle quelque 80% de la ville, baptisée par les militants la "capitale de la révolution", plusieurs quartiers demeurent aux mains des insurgés, en dépit d'un siège qui dure depuis huit mois.
Des centaines de civils sont toujours coincés dans des enclaves rebelles. Dans le nord-est du pays, des bombardements aériens ont de nouveau visé Raqa, première capitale provinciale à tomber lundi entre les mains des rebelles qui ont capturé à cette occasion le gouverneur et un responsable du parti Baas au pouvoir.
Terrés dans le quartier général des services du renseignement militaire, son dernier bastion dans cette ville, l'armée affronte les rebelles qui tentent de s'emparer du bâtiment, a indiqué l’OSDH qui s'appuie sur un large réseau de militants et de sources médicales dans le pays.
Les violences ont fait mardi dans le pays 159 morts, dont 70 rebelles, 47 civils et 42 soldats selon cette ONG.