-
Opération de reconstruction post-séisme sous le signe de la détermination et de l'engagement continu à la commune d’Adassil
-
Dans le cadre de l’opération humanitaire ordonnée par SM le Roi Mohammed VI, l'Agence Bayt Mal Al Qods remet des équipements à l’hôpital “Le Croissant Rouge ” à Al Qods
-
Les chiffres du ministre sonnent faux
-
L’axe Tindouf-Zouerate s’avère être le plus dangereux de l’Afrique du Nord
-
Focus sur les efforts du Maroc dans la lutte contre le trafic de psychotropes
Le dernier protocole de cet accord de pêche qui permettait à quelque 126 navires (dont 90 espagnols), de 11 Etats membres de l'UE, d'opérer dans 6 catégories de pêche différentes est, en effet, arrivé à son terme samedi 14 juillet 2018. Il rapportait au Maroc 40 millions d'euros par an, dont 30 millions fournis par l'UE pour payer l'accès aux ressources halieutiques et 10 millions par la flotte de pêche.
Il convient de rappeler que le 21 mars dernier, la Commission européenne avait adopté un mandat de négociation pour le renouvellement d'un accord de pêche incluant le Sahara et que les négociations le concernant avaient démarré le 16 avril.
A signaler, par ailleurs, que le Conseil des ministres des Affaires étrangères des pays membres de l’Union européenne (UE) a adopté, lundi à Bruxelles, la décision portant adaptation de l'accord d'association et de l’accord agricole avec le Royaume de nature à inclure expressément le Sahara marocain, a-t-on appris de source européenne.
Il s’agit d’une mesure, conforme à la décision de la Cour de Justice de l’UE sur l'accord de libéralisation des produits agricoles et autres du 21 décembre 2016, qui vise à consacrer dans les textes l'extension des préférences tarifaires à nos provinces sahariennes, précise la même source.
Cette décision tend à la fois à conforter la base juridique de l’exportation vers l’UE des produits issus de nos provinces du Sud avec des préférences commerciales et à favoriser le développement de ces régions, estime-t-on de même source.
La décision des ministres des Affaires étrangères de l’UE, qui ont demandé au Parlement européen de l’adopter dans les meilleurs délais, permet également à l'UE «de continuer à revigorer son partenariat avec le Maroc et montre la voie à suivre pour l'accord de pêche entre les deux partenaires dans les mois à venir», s’est réjouie la même source.