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Le Syndicat national de la presse marocaine a dénoncé hier l’intervention musclée de la police, le 13 mars, contre les journalistes et les photographes de presse couvrant le sit-in du mouvement du 20 février, organisé à Casablanca.
Hanane Rihab, Ousi Mouh Lhassan, Mohamed Adlan, Saad Dalya d’Al Ahdat Almaghribia, Ahmed Najim du site Internet « Code » et Salah Lmaayzi d’Observateur du Maroc ont été violemment pris à partie. Certains d’eux ont été brutalisés et d’autres fortement tabassés.
Le SNPM a exigé l’ouverture d’une enquête pour définir les responsabilités et a demandé au Premier ministre, aux ministres de l’Intérieur et de la Justice d’assumer eux aussi leurs responsabilités dans ces violations des lois nationales et des chartes internationales des droits de l’Homme et de la liberté d’expression. Un mouvement de protestation sera organisé ce mercredi 16 mars à partir de 17 heures devant le siège de la wilaya de police à Casablanca.
Hanane Rihab, Ousi Mouh Lhassan, Mohamed Adlan, Saad Dalya d’Al Ahdat Almaghribia, Ahmed Najim du site Internet « Code » et Salah Lmaayzi d’Observateur du Maroc ont été violemment pris à partie. Certains d’eux ont été brutalisés et d’autres fortement tabassés.
Le SNPM a exigé l’ouverture d’une enquête pour définir les responsabilités et a demandé au Premier ministre, aux ministres de l’Intérieur et de la Justice d’assumer eux aussi leurs responsabilités dans ces violations des lois nationales et des chartes internationales des droits de l’Homme et de la liberté d’expression. Un mouvement de protestation sera organisé ce mercredi 16 mars à partir de 17 heures devant le siège de la wilaya de police à Casablanca.
