-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP
Aucune mesure n'a été prise «pour mettre un terme à l'impunité dont bénéficient ceux qui étaient accusés d'avoir commis des atteintes aux droits humains dans ces camps durant les années 1970 et 1980», a relevé Amnesty dans ce rapport présenté lors d'une conférence de presse, organisée mardi à Rabat par sa section au Maroc.
L'Organisation rappelle que le 21 septembre 2010, «des responsables du Polisario ont arrêté Mostafa Salma Sidi Mouloud qui s'était exprimé publiquement en faveur du plan d'autonomie du Sahara sous souveraineté marocaine».
Le rapport, dont la présentation coïncide cette année avec le 50ème anniversaire de la création d'Amnesty, identifie les violations des droits de l'Homme dans 157 pays, ainsi que des restrictions à la liberté d'expression dans 89 autres.
Le chapitre consacré au Maroc a porté sur des questions relatives, entre autres, à la justice transitionnelle, la liberté d'expression, la sécurité et la lutte contre le terrorisme.