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Bien évidemment, il ne s’agit pas de ce public casseur ou resquilleur ni de ces associations de supporters ou d’adhérents trop intéressées par autre chose que le sport. Et parmi les protagonistes dont il est question, certains entraîneurs viennent en tête. Zaki Baddou, l’ex-gardien de but, qui avait fait l’unanimité en tant que tel, défraie une fois encore, la chronique. Rappelons-nous ses derniers démêlés avec le WAC. C’était l’année dernière. Cette fois, c’est le Kawkab de Marrakech qui en pâtit. Les belles promesses de l’ex-gardien passé entraîneur ont fini par exaspérer le Kawkab de Marrakech. C’est beau de s’entendre dire que l’on prépare une équipe d’avenir. Mais quel avenir quand on se passe allègrement des services de jeunes joueurs prometteurs pour contraindre le KACM à recruter à coups de millions des produits finis venus d’ailleurs ?
Une petite pensée, à ce propos, pour un certain Tarik Chihab, international, comme par hasard, quand le même Zaki était à la tête de l’équipe nationale, et qui se voit engagé par le Kawkab quand, comme par hasard (bis) le même Zaki se trouve être à la tête du Kawkab. Au fait, où est donc Chihab? Et où est donc Baddou?
Le public de Marrakech a du mal à prendre au sérieux le certificat médical justifiant un arrêt de travail produit par le «toujours» entraîneur du club fanion de la ville ocre (voir photo). En principe, on n’a pas le droit de douter d’un certificat aussi dûment établi. Mais, faisons le vœu pour que notre keeper légende du football marocain se rétablisse au plus vite. Et c’est l’occasion aussi de souhaiter un prompt rétablissement à tout le football marocain, malade de ses entraîneurs. Entre autres.