Le FUS de Rabat a pris une sérieuse option pour la qualification à la finale de la Coupe Orange de la Confédération africaine de football (CAF). Vendredi au stade 11 Juin de Tripoli, les Nationaux ont réussi une parfaite opération, s'offrant par deux buts à un les Libyens d'Al Ittihad pour le compte de la demi-finale aller.
Un joli coup confirmant que le Fath mérite plus que n'importe quel cador du football national son standing de grosse pointure sur l'échiquier continental, parti pourtant en outsider pour s'imposer ensuite comme favori pour la consécration.
Forcer la victoire au stade 11 Juin à Tripoli n'est pas donné à n'importe quel club. Un bourbier qui a vu chuter des cylindrées, mais ce Fath qui fait honneur au football marocain, a su briller de mille feux, dictant sa loi devant un adversaire bien aguerri aux joutes africaines.
Un FUS qui a négocié intelligemment son explication, laissant passer l'orage, le sale quart d'heure, avant de sortir un football où qualité et efficacité vont de pair. Et c'est l'inévitable Hicham Fatihi qui a trouvé la faille en premier à la 18ème minute de jeu. Une ouverture du score qui a redonné davantage de confiance aux poulains de Houcine Ammouta qui tâchaient de contenir les ardeurs d'un adversaire aspirant à revenir le plus tôt possible dans la rencontre. D'autant plus que les Fussistes allaient jouer en infériorité numérique, un peu moins d'une heure, après l'expulsion de Hassan Issoufou. Sauf que c'était sans compter sur le canonnier Mohamed Benchrifa qui a décroché, dès la reprise en seconde période, un tir sur un coup de pied arrêté pour sonner de nouveau le glas dans le camp adverse.
A deux à zéro, les carottes étaient bel et bien cuites. Et c'est là où les Fussistes ont failli à leur mission, se permettant un relâchement, payé par une réduction du score suite à une réalisation à l'ultime minute du match de Younès Chibani.
Une victoire encourageante qui permettra au Fath d'aborder la seconde manche à domicile dans de bonnes dispositions. Pourvu que le public, non seulement de Rabat, mais également des autres clubs nationaux, puisse venir en masse d'ici deux semaines à l'Ensemble sportif Moulay Abdellah pour soutenir le FUS dans sa belle aventure africaine.
A signaler que dans l'autre demi-finale, disputée samedi au stade Taïb Mhiri à Sfax, la formation tunisienne du CSS a eu raison des Soudanais d'Al Hilal sur la courte marque d'un but à zéro.
Un joli coup confirmant que le Fath mérite plus que n'importe quel cador du football national son standing de grosse pointure sur l'échiquier continental, parti pourtant en outsider pour s'imposer ensuite comme favori pour la consécration.
Forcer la victoire au stade 11 Juin à Tripoli n'est pas donné à n'importe quel club. Un bourbier qui a vu chuter des cylindrées, mais ce Fath qui fait honneur au football marocain, a su briller de mille feux, dictant sa loi devant un adversaire bien aguerri aux joutes africaines.
Un FUS qui a négocié intelligemment son explication, laissant passer l'orage, le sale quart d'heure, avant de sortir un football où qualité et efficacité vont de pair. Et c'est l'inévitable Hicham Fatihi qui a trouvé la faille en premier à la 18ème minute de jeu. Une ouverture du score qui a redonné davantage de confiance aux poulains de Houcine Ammouta qui tâchaient de contenir les ardeurs d'un adversaire aspirant à revenir le plus tôt possible dans la rencontre. D'autant plus que les Fussistes allaient jouer en infériorité numérique, un peu moins d'une heure, après l'expulsion de Hassan Issoufou. Sauf que c'était sans compter sur le canonnier Mohamed Benchrifa qui a décroché, dès la reprise en seconde période, un tir sur un coup de pied arrêté pour sonner de nouveau le glas dans le camp adverse.
A deux à zéro, les carottes étaient bel et bien cuites. Et c'est là où les Fussistes ont failli à leur mission, se permettant un relâchement, payé par une réduction du score suite à une réalisation à l'ultime minute du match de Younès Chibani.
Une victoire encourageante qui permettra au Fath d'aborder la seconde manche à domicile dans de bonnes dispositions. Pourvu que le public, non seulement de Rabat, mais également des autres clubs nationaux, puisse venir en masse d'ici deux semaines à l'Ensemble sportif Moulay Abdellah pour soutenir le FUS dans sa belle aventure africaine.
A signaler que dans l'autre demi-finale, disputée samedi au stade Taïb Mhiri à Sfax, la formation tunisienne du CSS a eu raison des Soudanais d'Al Hilal sur la courte marque d'un but à zéro.
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