-
L’approche algérienne promouvant le séparatisme et la déstabilisation désormais isolée
-
Réunion du collectif international de soutien aux familles d’origine marocaine expulsées d’Algérie - 1975
-
SM le Roi pose la première pierre d’un Centre médical de proximité à Casablanca et lance la 2ème phase du programme des Unités médicales mobiles connectées
-
Félicitations Royales au nouveau Président sénégalais M. Bassirou Diomaye Faye
-
Le tout mignon rétropédalage d’Alger
La motion, adoptée par tous les groupes parlementaires représentés au Congrès des députés, appelle également le gouvernement espagnol à «continuer à promouvoir le processus de dialogue établi au sein de l’ONU» entre les parties pour parvenir à une «solution juste, durable et mutuellement acceptable» à la question du Sahara.
Les partis politiques espagnols soulignent que cette solution doit s’inscrire dans le cadre «des résolutions successives de l’ONU».
L’Espagne, à travers sa ministre des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération, Arancha González Laya, a réitéré le 24 janvier dernier à Rabat, que son pays défend la centralité des Nations unies dans la recherche d’une solution à ce différend régional dans le cadre des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité de l’ONU.
La position de l’Espagne sur la question du Sahara est «une position d’Etat qui n’est pas tributaire des changements de gouvernements ou de coalitions», avait-elle affirmé.